UN APERÇU DE L’ŒUVRE ASTROLOGIQUE DE CYRIL FAGAN, par Kenneth BOWSER

Le questionnement principal de l’astrologie contemporaine tient au zodiaque lui-même : les caractéristiques dérivent-elles des signes tropicaux, inventés par les Grecs ou des signes sidéraux découverts par les Babyloniens ? La controverse entière est la conséquence du travail de Cyril Fagan (1896-1970), astrologue extraordinaire et indiscutablement le meilleur astrologue irlandais de son temps, peut-être de tous les temps.

Cet article a été initialement publié dans le numéro de juillet 1996
de "Réalta" (Journal de l'association astrologique irlandaise)

Le site de Kenneth Bowser

Cyril Fagan est relativement peu connu en Irlande car la majeure partie, et la plus importante, de son travail a été publiée dans les magazines américains, un fort antagonisme envers son travail s’exprimant dans des publications anglaises similaires. C’est ainsi que, comme avec la Grande Famine, l’Amérique a pu, une nouvelle fois, bénéficier du talent irlandais. Bien qu’il rencontrait une certaine opposition du côté des États-Unis (la revue "Horoscope Dell" ne publie toujours pas d’articles sidéralistes), l’histoire d’amour américaine avec les Irlandais en général, a permis à son travail d’être examiné par la plupart, et accepté par certains, tandis que l’ensemble du sujet se revigorait. En toute équité, il faut dire que lui et Charles E. O. Carter (1887-1968), le meilleur astrologue anglais de son temps, étaient des amis proches, et plusieurs autres astrologues anglais éminents tenaient Fagan en haute estime.

Fagan est né à Dublin le 22 mai 1896 à midi, heure de Dunsink. L’heure moyenne locale de l’observatoire de Dunsink était alors la norme du temps dans la région. Elle est en retard de 25 minutes et 21 secondes par rapport à Greenwich, de sorte que midi à l’heure de Dunsink équivaut à 12:25:21 GMT. Dans une lettre à Arthur Blackwell, la lumière la plus brillante de la deuxième génération des sidéralistes modernes, datée le 20 février 1963, Fagan écrivait, "Ma mère m’a dit à plusieurs reprises que je suis né à midi. Elle disait qu’elle se souvenait bien de cette occasion, car mon père est entré dans la chambre à ce moment-là, avec son grand chapeau de soie et sa redingote. Le père de Fagan était médecin, un domaine vers lequel Cyril n’a pas pu se diriger en raison d’une quasi-surdité due à une scarlatine contractée enfant.

Il a fait ses études aux collèges de Belvedere et de Castlenock, et a démarré l’astrologie en 1916, à la fin de sa formation initiale. En fait, il a poursuivi ses études toute sa vie. Avec la Lune en Vierge sidérale, il était un lecteur invétéré, et il a passé pratiquement toute sa vie plongé dans l’étude, dans les bibliothèques et les archives comme à la maison à son bureau. Cependant, en contraste frappant avec sa nature studieuse et sa curiosité intellectuelle insatiable, Fagan était une personnalité flamboyante dans sa façon de parler et de s’habiller. Cela ne veut pas dire qu’il était un franc-tireur ou qu’il favorisait les combinaisons criardes, mais plutôt qu’il avait un sens de l’humour brillant et imprévisible, que tout le monde pouvait entendre dans la mesure où il en venait presque à crier pour s’entendre lui-même (jusqu’à ce que les appareils auditifs efficaces soient développés), qu’il était aussi bien habillé qu’il pouvait se le permettre, et qu’il appréciait la vie nocturne. Il épousa une beauté irlandaise de dix-sept ans sa cadette avec qui il eut deux enfants. Sa femme, Pauline, était une femme de la vieille école, farouchement dévouée à son mari. Ils ont été ensemble jusqu’à sa mort. Elle s’est récemment éteinte à San Francisco, en Californie.

La curiosité pénétrante de Fagan se traduisait aussi par une soif de vagabondage. Il a vécu aux Pays de Galles, à Londres, au Maroc, en Espagne et dans plusieurs endroits aux États-Unis, voyageant beaucoup à partir de ces camps de base, quand il le pouvait.

Bien qu’invariablement charmant, il était aussi intimidant aux yeux de certains, à cause du "don" qui se manifestait comme une sorte de spécificité dans ses interprétations astrologiques, et qui semblaient aller bien au-delà de ce que les planètes pouvaient transmettre. On m’a dit que certaines personnes avaient  également expérimenté cette qualité à son sujet dans des contextes non astrologiques. La plupart des gens, cependant, l’ont approché avec grand plaisir. La seule personne avec qui il a croisé le fer dans la presse à plusieurs reprises, c’est Dane Rudhyar.

Fagan a été président et fondateur de l’Irish Astrological Society (Société astrologique irlandaise), à laquelle appartenait W. B. Yeats. Ils étaient amis. Fagan était membre de l’American Federation of Astrologers (Fédération Américaine des Astrologues), membre de la Federation of British Astrologers (Fédération des Astrologues Britanniques) et Komandoro de l’Universal Order of Antares (Ordre Universel d’Antarès) (Trieste).

Fagan a commencé à publier de nombreux articles dans les années 1930. Tout comme les meilleurs astrologues modernes l’avaient compris, il avait réalisé que pour parler avec autorité de l’histoire de l’astrologie, il fallait devenir compétent en histoire, en langues, en géographie, en mathématiques, en astronomie, et surtout dans ce dernier domaine car, dans le monde antique, l’astrologie et l’astronomie étaient liées.

Époque kassite - Musée du Louvre
Lorsque l’écriture cunéiforme a été déchiffrée au XIXe siècle, les matériaux astronomiques / astrologiques babyloniens sont devenus accessibles aux chercheurs, qui les ont laborieusement traduits et publiés à partir des années 1880. Très vite, trois jésuites érudits allemands, Joseph Epping (1835-1894), Franz Xaver Kugler (1862-1929) et Johann Nepomuk Strassmaier (1846-1920), ont compris que les longitudes des éphémérides babyloniens étaient calculées à partir des étoiles, et non à partir des équinoxes ou des solstices. La majeure partie des traductions et des commentaires astronomiques/astrologiques babyloniens est parue dans l’irrégulière mais massive revue que Kugler avait fondé "Sternkunde Und Sterndienst In Babel" (Astronomies à Babylone) de 1907 jusqu’à son achèvement en 1935 par Joseph Schaumberger S. J. Il est presque certain que Fagan a lu une partie de ce travail, mais on ne sait pas exactement quand il a commencé à enquêter sur ce genre de matériel. L’étude qu’il en a faite était déjà bien avancée dans les années 1940 car en 1944 il était convaincu que toute la tradition babylonienne était sidérale, et pas simplement le matériel de la période hellénistique. Cela a été confirmé par la suite, bien qu’il n’y ait pas suffisamment de preuves pour dire précisément quand s’est produite la transition vers une division en douze parts égales.

Il est établi que, pendant le deuxième millénaire avant J.-C., les Babyloniens ont employé dix-huit constellations sidérales inégales : les douze que nous employons aujourd’hui mais avec les Poissons divisés en deux, la partie occidentale et la partie orientale, ainsi que cinq constellations non écliptiques, Orion, le Cocher, Persée, les Pléiades et une constellation qu’ils appelaient "l’Hirondelle", entre le Verseau et les Poissons.  Ces cinq dernières ont été abandonnées lorsque l’astrologie babylonienne est devenue exclusivement orientée selon l’écliptique. L’horoscope d’un individu le plus ancien date seulement de 410 avant J.-C. Il est divisé en douze, sidéral et babylonien. Il n’existe pas d’horoscopes tropicaux antérieurs au premier siècle avant J.-C., et très peu jusqu’au premier siècle de l’ère chrétienne. Inversement, il n’existe pas d’astrologues sidéraux en Occident avant l’apostasie de Fagan, qui a été induite par des preuves.

La plupart d’entre nous pensent que le premier degré du Bélier est le premier jour du printemps, bien que ce soit le premier jour de l’automne dans l’hémisphère sud. Actuellement, l’arrière-plan des étoiles sur lequel le soleil se trouve le 21 mars est la constellation des Poissons. Ce fait est totalement ignoré par les défenseurs de l’école tropicale, qui soutiennent que l’influence astrologique, qu’elle soit causale ou symbolique, dérive de signes de longueur égale calculés à partir de l’équinoxe vernal, même si la constellation du Bélier n’a plus de relation avec l’équinoxe vernal. Ce que Fagan a compris, c’est que les Babyloniens ne considéraient pas les signes sidéraux comme un simple façon de mesurer les choses dans le ciel. Leur astrologie était ancrée dans les étoiles et non aux équinoxes qui se déplacent d’un degré d’arc tous les soixante-dix années et deux tiers par rapport au ciel. Vers 2376, lorsque l’ère du Verseau s’ouvrira, le décalage entre les signes et les constellations sera de trente degrés.

Lorsque Fagan a commencé à écrire sur le sujet à la fin des années 1940, il a été confronté à une réaction intense, virulente, de presque toute la communauté astrologique, malgré quelques grands esprits dans les rangs anglais qui ont été conquis, tels que Cecil Nixon, Rupert Gleadow et Roy Firebrace. Depuis, l’école sidérale a  été principalement dirigée par des intellectuels de terrain car les techniciens saisissent rapidement les arguments et envisagent plus facilement de commettre l’hérésie.

Le mécanisme central pour comprendre la différence entre les zodiaques tropicaux et sidéraux, ainsi que les ères astrologiques, c’est la précession, l’un des mouvements orbitaux de la terre. Si un couple est appliqué à un corps en rotation, ce corps réagit à angle droit par rapport au couple appliqué et commence à se rapprocher de son axe de rotation, si le couple est suffisant. La toupie d’un enfant qui commence à s’arrêter en est une bonne illustration. . Elle va commencer à osciller à un rythme beaucoup plus lent que celui de sa rotation, mais comme l’oscillation devient une composante plus importante dans le mouvement total du sommet, l’oscillation devient d’autant plus grande que la rotation devient plus lente. À moins que "l’équateur" du haut ne soit exactement parallèle au sol, la gravité grignote la légère imperfection de la rotation du haut, et de fait le point bas de la rotation descend vers la surface sur laquelle il tourne. La résistance du sommet à être tiré vers le bas est ce à quoi ressemble la précession ; c’est l’oscillation. Une bonne façon de ressentir la résistance à un couple appliqué sur un corps en rotation est de tenir un gyroscope en mouvement, un autre jouet commun. Quand vous le tenez et que vous tournez votre poignet dans le sens de sa rotation, vous ferez l’expérience de ce qui arrive à la terre en grand. Le couple appliqué sur la terre est l’attraction gravitationnelle du soleil et de la lune sur le bourrelet équatorial de la terre ; cette attraction, non soutenue, tire le bourrelet équatorial dans le plan de l’orbite de la terre. Parce que la terre est massive et tournoyante, sa réaction est à angle droit par rapport au couple appliqué : elle précède son axe de rotation en décrivant un cône.

L’oscillation est extrêmement lente. Il faut 25 800 ans pour passer un de ces cycles. C’est pourquoi les étoiles polaires passent d’ère en ère, et pourquoi tous les corps dans le ciel changent leurs positions vis-à-vis du calendrier. Ce que Claude Ptolémée a vu dans le ciel à l’équinoxe vernal au cours du deuxième siècle après J.-C. n’est pas ce que nous voyons aujourd’hui. Quand Ptolémée écrit dans l’Almageste que le premier degré du Bélier coïncide avec l’équinoxe, c’est une déclaration vraie. Les calculs tropicaux et sidéraux coïncident une fois pendant chaque cycle précessionnel. C’est une coïncidence étonnante que, précisément avant que la civilisation occidentale ne soit entraînée dans les remous, le plus grand esprit astronomique/astrologique, mathématique et cartographique de l’époque écrit son Opus Magnum alors que les deux formes de calcul étaient virtuellement alignées. Avec la désintégration de l’Empire romain, un climat de désobéissance a touché toutes les questions techniques en Occident, accentué par les remontrances de l’Église catholique vis-à-vis de l’étude des choses de ce monde. Les travaux de Ptolémée sont devenus institutionnalisés, incontestés et alourdis par l’inertie de la tradition, pas même étudiés de façon critique jusqu’au XVe siècle et Johann Müller (Regiomontanus).

La date limite pour la mort de Ptolémée est supposée être 180 après J.-C. Dans 720 ans, l’équinoxe vernal occupera une section du ciel située dix degrés à l’ouest de sa position antérieure indépendamment de la convention de calendrier, en raison de la précession. Ainsi, vers 900 après J.-C., l’équinoxe se tenait à 21° des Poissons (l’alignement exact du tropical et du sidéral a eu lieu en 221 après J.-C., ainsi dix degrés les séparaient en 940 après J.-C. approximativement). Mais l’Almageste, écrite en grec, n’a pas été traduite en latin avant 1160 après J.-C. Il n’y avait personne en Occident pour contester l’affirmation de Ptolémée disant que le début du Bélier et l’équinoxe vernal coïncidaient. Les Arabes avaient pris note de la divergence mais n’ont pas contesté la tradition. Au milieu du XVIIe siècle après J.-C., l’équinoxe se tenait à 10° des Poissons, vers 2376 après J.-C., le signe sidéral du Verseau commencera à se lever à l’équinoxe vernal. Onze mille ans plus tard, le zodiaque tropical sera complètement à l’opposé des constellations. L’argument de Ptolémée repose sur l’hypothèse que la terre est fixe dans l’espace et que le ciel se déplace par rapport à elle. En écartant le propre mouvement des étoiles elles-mêmes, qui est pratiquement nul pendant toute l’époque historique de la civilisation occidentale, l’inverse est vrai, c’est-à-dire que la terre se déplace par rapport au ciel, en raison principalement de l’effet de la précession.

Le point essentiel est que le ciel change d’année en année par rapport à la même date et heure civiles, même si le ciel lui-même reste essentiellement inchangé par rapport aux étoiles qui le composent. Le changement n’est pas détectable, sauf sur une période de plusieurs vies. Pourtant, si l’on considère les signes d’un équinoxe en mouvement, qui est terrestre au lieu d’être une référence stellaire, au fil du temps, les traits caractéristiques commencent à être attribués à des dates erronées parce qu’ils font référence à une section du ciel qui n’est plus où elle était auparavant pour la date en question. Malgré tous les arguments alambiqués et les psycho-babillages sur l’astrologie, elle est toujours une divination par le ciel. Fagan soutenait que l’astrologie ne peut s’écarter de ce principe et rester valide.

En 1949, Fagan a réalisé ce que beaucoup considèrent comme sa plus grande découverte. Il existe une tradition en astrologie au sujet de certaines parties du zodiaque, appelées exaltations, qui ont une signification particulière pour des planètes particulières. Déjà au temps de Ptolémée, leur origine avait été perdue. De même, certains degrés sont associés à ces lieux. L’exaltation du Soleil est 19° Bélier, la Lune est exaltée à 3° Taureau, Mercure à 15° Vierge, Vénus à 27° Poissons, Mars à 28° Capricorne, Jupiter à 15° Cancer et Saturne à 21° Balance. Ces lieux représentent les positions optimales pour l’expression des natures intrinsèques des planètes respectives. Fagan a découvert que ces positions sont les phénomènes héliacaux pour les planètes Mercure, Mars, Saturne et Jupiter pour le parallèle de Babylone pour l’année lunaire 786-785 avant J.-C. ; les degrés du Soleil, de Lune et de Vénus sont les positions au premier de Nisan, le premier mois de Babylone, soit le 3 avril 786 avant J.-C. calendrier julien au lever de la Lune. Ces positions héliacales ne se sont pas répétées de façon tropicale ni sidérale depuis le début de l’histoire écrite vers 3100 avant J.-C. Les exaltations représentent les "cachettes," c’est-à-dire les endroits où les planètes apparaissent pour la première fois après avoir été invisibles pendant des semaines ou des mois, ou leurs longitudes lors de leur dernière apparition avant de devenir invisibles. Les phénomènes d’horizon étaient plus importants pour les Babyloniens que les transits méridiens. Les longitudes du principe d’exaltation sont purement sidérales et n’ont aucun sens dans un contexte tropical. Ptolémée a déclaré que, pour lui, les premières archives astronomiques disponibles dataient de l’époque (première année de règne) du roi babylonien Nabonassar : 747 avant J.-C. Les bonnes données astronomiques n’apparaissent pas ex nihilo. Les archives de 747 avant J.-C. suggèrent une tradition établie sur laquelle la solution d’exaltation donne appui seulement trente-neuf ans plus tôt.

Le premier livre de Fagan "Zodiacs Old And New" (Zodiaques ancien et nouveau) a été publié en 1950 ; il traite du principe d’exaltation entre autres choses. Naturellement, c’était un anathème pour l’école tropicale qui a officieusement serré les rangs contre l’hérétique irlandais, bien que Cyril ait été fait collègue de la Fédération américaine des astrologues en 1948. Il avait déjà publié des articles dans American Astrology Magazine dans les années 1930, 1940 et quelques autres au début des années 1950, quand en 1953, il y commença une chronique mensuelle appelée "Solunars", qu’il a alimentée jusqu’à sa mort. Cette série d’articles, plus que tout autre effort, a diffusé le zodiaque sidéral dans toute la communauté astrologique américaine via l’immense lectorat de l’American Astrology Magazine.

Lorsque Fagan a pris sa retraite du "Civil Service Patent Office" (Office public des brevets) irlandais en 1956, après trente-cinq années, il s’est consacré à plein temps à l’astrologie. C’est ainsi que sa série d’articles "Solunars" a été produite de Tanger, où le coût de la vie était beaucoup plus bas que dans les îles Britanniques, jusqu’aux États-Unis, où il a emménagé en partie parce que son fils avait émigré au Canada. Il a publié plusieurs œuvres mineures, le principal d’entre eux étant "The Symbolism of the Constellations" (Le symbolisme des constellations, jusqu’à son chef-d’œuvre "Astrological Origins" (les origines astrologiques), paru en 1969. Ce livre ainsi que "Zodiacs Old And New" (Ancien et nouveau zodiaques) sont la chair et le sang du mouvement sidéral occidental, qui reste une minorité distincte, mais très puissante, aux États-Unis. "Cyril’s Solunars Handbook" (Le manuel Solunar de Cyril), anthologie de la série d’articles mis en place par l’American Astrology Magazine (Magazine américain d’astrologie), est également très prisé par les tropicalistes et les sidéralistes pour la profondeur de son érudition et la clarté de son style.

Il avait encore d’autres plans mais, comme cela arrive si souvent quand la tâche pour laquelle on est destiné est terminée (ici avec la publication des "Origines astrologiques"), son corps a commencé à faire défaut. Fagan a fait une crise cardiaque et est décédé à 5 h du matin MST (Mountain standard time) le 5 janvier 1970 à Tucson, en Arizona. Son influence dans la communauté sidérale est cependant encore omniprésente, et le travail continue. 

___________________ 

Kenneth Bowser, auteur de "An Introduction to Western Sidereal Astrology" (2012), "Primary Directions and the Horoscope of the United States" (2015) et "The Western Sidereal Interpretation Workbook" (2020), étudie l’astrologie et l’histoire ancienne depuis plus de cinquante ans. Connu pour son érudition dans le domaine de l’astrologie ancienne, Ken donne des conférences astrologiques aux États-Unis et en Europe et enseigne régulièrement sur une variété de sujets astrologiques. On peut le joindre à www.WesternSiderealAstrology.com. Pour plus d’information sur son cours d’interprétation sidérale occidentale, cliquez ici. Ce cours s’adresse aux étudiants intermédiaires et avancés en astrologie. Les thèmes utilisent la longitude sidérale occidentale, mais le cours convient également aux astrologues tropicaux puisque les mêmes règles d’interprétation s’appliquent aux deux écoles .

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire