MANILIUS ET LA TRADITION ASTROLOGIQUE, par Jean HIÉROZ

Astronomicon, œuvre de Manilius, est le plus ancien des traités connus d'astrologie. Malheureusement inachevé, cet ouvrage, antérieur de plus d'un siècle au Tétrabible, mérite d'autant moins l'oubli quasi total où il est tombé dans les milieux astrologiques qu'il comble fort heureusement certaines lacunes de l'œuvre de Ptolémée. 

La participation de Manilius à notre connaissance des fondements de l'Astrologie traditionnelle

Texte extrait de l'ouvrage paru aux Éditions des Cahiers Astrologiques (1941)

L'"Astronomicon" de Manilius est, beaucoup l'ignorent, le plus ancien des traités connus d'astrologie. Malheureusement inachevé, cet ouvrage, antérieur de plus d'un siècle au "Tetrabiblos", mérite d'autant moins l'oubli quasi total où il est tombé dans les milieux astrologiques qu'il comble fort heureusement certaines lacunes de l'œuvre de Ptolémée. Je veux, entre autres choses, parler des maisons et des parts. On sait que les seules maisons définies dans le Quadripartite sont les six maisons visibles, et que cette définition n'est donnée qu'incidemment au chapitre des lieux hylégiaques (1). On sait peut-être aussi que M. William Tucker dans son ouvrage (2) a prétendu que les maisons étaient ignorées des anciens, que Ptolémée n'en parlait pas (3), et qu'elles furent inventées au Moyen-Age par les Arabes. Si nous n'avions Manilius (et la version en prose qu'en donna au IVe siècle Firmicus Maternus), rien n'empêcherait d'adopter la théorie de M. Tucker, quitte à supposer que les brefs passages du Quadripartite ayant trait aux maisons y ont été ajoutés par un copiste Arabe trop zélé.

Pour ce qui est des parts, Ptolémée n'a défini que la part de Fortune ; et un compatriote de M. Tucker, M. Wilson, a gentiment attribué l'invention de celle-ci au "cerveau trop imaginatif" du Prince des Astrologues. Ceci est encore une théorie émise à la légère que Manilius va nous permettre de réfuter. Bien mieux, ce n'est pas une part, mais bien douze que nous apporte notre poète. Et la façon dont ces parts sont placées par Manilius n'a (soit dit en passant) rien de commun avec la méthode de calcul que Picard a prétendu nous faire connaître.

Composée sous César-Auguste, vers l'an 10 de notre ère, l'œuvre de Manilius comprend environ 4 200 vers répartis en cinq livres. Elle est inachevée, probablement du fait de la mort de son auteur, et n'a pas été publiée à l'époque. Au IVe siècle, l'astronome sicilien Firmicus Maternus eut en mains le manuscrit original et en donna une version en prose. On possède diverses copies datant des IXe et Xe siècles. La première édition imprimée date de 1472. Regiomontanus en donna une nouvelle en 1473. Scaliger en fit paraître trois avec des notes très étendues en 1579, 1590 et 1600. L'auteur de cet article a la bonne fortune de posséder un exemplaire de la troisième. Pour 132 pages seulement d'Astronomicon, les notes et commentaires de Scaliger couvrent 520 pages. En 1665, une autre édition est parue à Strasbourg avec des notes de Reinisius. Michel Fage introduisit l'Astronomicon en 1679 dans la collection "ad usum Delphini" ; Bentlei la réimprima en 1739 ; puis Pingré, bibliothécaire de Sainte-Geneviève, donna une traduction en français en 1786. Enfin les textes de Pingré revus par Nisard furent republiés en 1884 dans la collection des auteurs latins chez Firmin, Didot et Cie. On trouve encore en librairie des exemplaires de cette traduction (4). Pingré et Nisard ne connaissaient rien à l'astrologie et la méprisaient profondément ; aussi leurs traductions contiennent-elles dans leurs passages techniques de nombreux contresens. Les commentaires de Scaliger n'ont naturellement et malheureusement pas été traduits. 

Manilius était Romain et prétend être le premier latin et le premier poète qui essaya de rédiger un traité d'astrologie en vers. Il se réfère constamment aux Grecs et aux astrologues des bords du Nil et de l'Euphrate. L'exemple de domification qu'il donne correspond à la latitude d'Alexandrie. Il n'y a donc pas de doutes à avoir sur la source de sa documentation. Elle est très certainement la même que celle où puisa Ptolémée. L'"Astronomicon" ne contredit jamais le "Tetrabiblos" et cette similitude est un des arguments en faveur de la théorie du "liber Hermetis", fond commun disparu des astrologues de l'Antiquité. Les méthodes de calcul toutefois sans se contredire sont, nous allons le voir, plus primitives dans Manilius que dans Ptolémée.

Détermination de l'Horoscope

Ptolémée dans l'"Almageste"(II. 7) a donné une série de onze tables indiquant les temps d'ascension des signes (10 degrés par 10 degrés), sous diverses latitudes. Connaissant le degré occupé par le soleil sur l'Écliptique et le temps écoulé depuis le lever en heures équinoxiales, il est facile de déterminer avec ces tables la position de l'horoscope. Manilius est moins précis. Il commence par s'élever contre l'erreur que commettaient ses devanciers et d'après lui la plupart des astrologues de son époque :

La méthode ordinaire m'est connue. On compte deux heures pour la durée du lever de chaque signe. Comme ils sont tous égaux, on suppose qu'ils emploient des temps égaux pour monter au-dessus de l'horizon. On compte donc les heures écoulées depuis le lever du soleil et l'on distribue ces heures sur le cercle des signes célestes jusqu'à ce que l'on soit parvenu à la naissance de l'enfant. Le point où la somme sera épuisée sera celui qui se lève à ce moment. Mais le cercle des signes est oblique par rapport au mouvement du ciel... Pour peu qu'on réfléchisse… est-il possible de se persuader que les signes célestes emploient tous le même temps à monter à l'horizon ?... (Livre III, vers 217 à 235.)


Aussi Manilius propose-t-il une méthode dont il s'attribue généreusement la paternité :

Je propose la loi ; chacun suivra la route que je vais tracer, fera lui-même l'application mais me sera redevable de la méthode. (III, 388 et suivants.)

En quelque lieu de la terre qu'on se propose de résoudre le problème, il faut déterminer le nombre d'heures égales comprises dans la durée du plus long jour et de la plus courte nuit de l'Été. La sixième partie du plus long jour correspond au temps d'ascension du Lion. Partagez de même la durée de la plus courte nuit et assignez une de ces parties au Taureau pour s'élever au-dessus de l'horizon. Prenez ensuite la différence entre les durées des levers du Lion et du Taureau et divisez-la en trois. À la durée du Taureau ajoutez un tiers, deux tiers, trois et enfin quatre tiers de cette différence, vous aurez successivement les temps des Gémeaux, de l'Écrevisse, du Lion (qui correspond à celui déjà obtenu) et enfin de la Vierge. La Balance prend le même temps que la Vierge et à partir de celle-ci les durées décroissent dans la même proportion. Autant chaque signe met de temps à monter, autant le signe opposé met de temps à descendre. (III, 398 à 414.)
Combinant cela avec l'heure courante, on n'aura aucune erreur à craindre dans la détermination du point de l'horoscope, puisque l'on pourra attribuer à chaque signe le temps qui lui convient en commençant à compter du lieu que le soleil occupe. (III, 433-437.)

Cette méthode n'est que grossièrement approximative, car à la latitude d'Alexandrie, elle donne pour l'ascension du Bélier 1 h. 27 m. au lieu de 1 h. 23 m., pour le Taureau 1 h. 40 m. au lieu de 1 h. 37 m., pour les Gémeaux 1 h. 53 m. au lieu de 1 h. 58 m., pour le Cancer 2 h. 6 m. au lieu de 2 h. 17 m., pour le Lion 2 h. 20 m. au lieu de 2 h. 24 m., pour la Vierge 2 h. 33 m. au lieu de 2 h. 19 m., etc.

Manilius fut-il vraiment le premier à abandonner la méthode vicieuse décrite aux vers 217-235 du III° livre? Rappelons que Hipparque avait, 150 ans plus tôt, défini les quatre réseaux de coordonnées célestes que nous employons encore de nos jours et, ceci étant, il nous est difficile de croire que l'on a attendu Manilius pour se rendre compte de l'inégalité des temps ascensionnels des signes. Nous croyons donc que sa paternité, si paternité il y a, doit se limiter à la méthode approximative de calcul que nous venons de reproduire.

Détermination du Milieu du Ciel


Comment ensuite était détermine le milieu du ciel ?

Scaliger croit que Manilius utilisait une domification du genre du "modus æqualis" où toutes les maisons sont égales à partir de l'ascendant. Le fait que Firmicus Maternus, traducteur en prose de l'"Astronomicon", domifiait ainsi, a dû déterminer sa conviction, car les définitions du Milieu du Ciel données par Manilius correspondent à notre Milieu du Ciel (plan méridien) et non à celui du "modus æqualis" (plan passant par le zénith et le milieu de l'écliptique entre Ascendant et Descendant). Voici ce que Manilius dit du Milieu du Ciel :

Un grand cercle qui prenant son origine à la Grande Ourse coupe la route du Soleil en deux parties égales ; il partage le jour et détermine la sixième heure. Il est à une distance égale du lever et du coucher de tous les astres. (I, vers 613 et suivants.)

Et plus loin :

Il a sa place au plus haut du ciel où Phœbus fatigué arrête ses chevaux hors d'haleine, s'apprête à faire baisser le jour et détermine la longueur des ombres méridiennes. (II, 784 et suivants.)

Puisque Manilius connaissait l'inégalité des temps d'ascension et de descension et s'en servait pour trouver l'horoscope, il aurait parfaitement pu déterminer le Milieu du Ciel avec une précision du même ordre. Il lui suffisait de chercher par tâtonnements un point tel que la somme des ascensions des degrés compris entre ce point et l'horoscope soit égale à la somme des descensions des degrés compris entre ce point et le Descendant, méthode indiquée par Ptolémée (Almageste, livre II, chapitre 9) (5).

Comme nous ne possédons aucun thème dressé par Manilius, nous sommes contraints d'en rester à ces suppositions contradictoires.

Emplacement et signification des maisons

Manilius ne nous dit pas non plus comment il situait les maisons par rapport à leur cuspide. Souvenons-nous que Ptolémée faisait commencer sa maison 5° au-dessus de l'Orient et la faisait finir 25° au-dessous et que sa maison X s'étendait de part et d'autre du Milieu du Ciel. Il semble bien qu'il en soit de même chez Manilius. Parlant de la maison X, il dit :

Au plus haut du ciel, dans ce lieu où les astres cessant de monter commencent à descendre ; dans cette maison qui est à égale distance du lever et du coucher…

Et de la maison I :

Où les astres renaissent, recommencent à fournir leur carrière accoutumée, où le soleil sort du sein de l'océan, ses rayons affaiblis reprennent par degrés leur chaleur et leur lumière dorée...

Toutes choses qu'il ne pourrait pas dire s'il considérait le Milieu du Ciel et l'Ascendant comme la limite latérale des maisons X et I. Manilius ne numérote pas les maisons et leurs significations sont données dans l'"Astronomicon" non en fonction d'un numéro mais d'une position sur la sphère locale ; par exemple quand il veut parler de la maison que nous nommons XII il dit : "la maison au-dessus de l'Orient, la 3° à partir du Milieu du Ciel."

Ces incertitudes mises en évidence, voici les significations qu’il attribue aux angles et aux maisons :

  • MILIEU DU CIEL a sous sa protection tout ce qui est grand et relevé. Il dispense en souverain les honneurs et les distinctions, il est la source de la faveur et des dignités imposantes, il concilie l'affection du peuple, c'est par lui que l'on brille au Forum, que l'on donne des lois à l'Univers, qu'on contracte des alliances utiles avec les nations étrangères. C'est par lui qu'on se fait un nom digne de son rang et de sa condition.
  • FOND DU CIEL a des effets moins apparents que le Milieu du Ciel, mais plus utile. Il est le fondement de toute félicité ; les richesses viennent de lui.
  • HOROSCOPE est l'arbitre de la vie, il forme les mœurs, c'est de lui que vient la noblesse de l'extraction.
  • DESCENDANT préside à la conclusion de toutes nos affaires, aux termes des travaux, au mariage, aux derniers moments de la vie, au repos, à la société, au culte des Dieux.

Les intervalles entre les angles régissent les diverses parties de la vie :

  • Entre Ascendant et Milieu du Ciel : les premières années.
  • Entre Milieu du Ciel et Descendant : la tendre jeunesse.
  • Entre Descendant et Fond du Ciel : l'âge mûr.
  • Entre Fond du Ciel et Ascendant : la vieillesse.
  • Maison XII. Maison funeste qui prépare un fâcheux avenir et annonce des maux de toutes sortes.
  • Maison VI. Aussi peu favorable que la XII "porte du travail".
  • Maison VIII et II. Pas plus heureuses que les deux précédentes "maisons de Typhée".
  • Maison XI. Le cède à peine à la X, est dite le "bon Daimon", fiez-vous à la fortune qui y préside.
  • Maison V. Est habitée par un dieu puissant, est dite "Daimonia", elle est le siège de ce qui peut entretenir notre santé. Elle recèle aussi les maladies qui nous font la guerre.
  • Maison IX. Dite "Dieu" par les Grecs ; nos corps y contractent des qualités bonnes ou mauvaises, y participent aux faveurs de la fortune. C'est celle que préfère le Soleil.
  • Maison III. Dite "Déesse" par les Grecs ; elle préside à la mort et est sous la domination de la Lune.
  • Maison X. "Maison de Vénus", elle préside au mariage, au lit nuptial, aux noces ; elle se nomme aussi la "fortune".
  • Maison IV. "Maison de Saturne", influence la destinée des pères et des nouveaux-nés.
  • Maison I. "Temple de Mercure", préside aux destinées des enfants, aux espérances des pères.
  • Maison VII. "Porte de Pluton", préside à la vie et est consacrée à la mort ; préside par ailleurs à la bonne foi et aux sages conseils (6).

Part de fortune et XII Athla ou sorts

La définition mathématique de la part de fortune est rigoureusement la même que celle donnée par Ptolémée.

Comptez combien il se trouve de degrés du soleil à la lune en suivant l'ordre des signes. Portez ces degrés à partir de l'horoscope dans le même sens sur le cercle des signes. Le point du cercle où le nombre s'arrêtera est le lieu de la fortune.
(III, 187.)
Les douze sorts correspondent aux douze signes, non qu'ils soient éternellement au même lieu du ciel, mais à chaque naissance, ils occupent un lieu déterminé. Dès que le sort qui occupe le premier rang a été placé au lieu qui lui convient, les autres se succèdent sans interruption et sont attribués par ordre aux signes suivants. (III, 75.)

Ces douze sorts ou Athla ont les significations suivantes :

  1. Fortune. Gouverne tout ce qui peut contribuer à établir une maison, le nombre des esclaves, les terres, les palais.
  2. Milice. Art militaire et séjour à l'étranger.
  3. Occupations civiles. Liens entre citoyens, amitiés.
  4. Jugement. Tout ce qui se rapporte aux tribunaux.
  5. Mariage. Les noces, la vie conjugale, les amitiés.
  6. Richesses. Qualités des biens et durée de leur possession.
  7. Périls. Si les positions défavorables des planètes concourront à nous en faire essuyer.
  8. Noblesse. Honneurs, dignités, réputation.
  9. Enfants. Incertitudes et soins pour les élever.
  10. Famille. Exemples que nous lui donnons; nos mœurs.
  11. Santé. Les maladies nous épargnent ou nous accablent suivant l'impression que les astres communiquent au monde.
  12. Vœux. Tout ce qui peut contribuer à la réalisation de nos entreprises.

Dodécatémories et Décans

On sait que les seules divisions des signes dont parle Ptolémée sont les Termes, dont Manilius ne parle pas, et les Plages, que Manilius nomme Dodécatémories (Division en portions de 2,5°).
Manilius parle en outre des Décans, omis par Ptolémée, dont on connaît la définition et qui sont attribués selon le tableau ci-dessous (
Livre III, vers 308 et suivants)

Notons que Firmicus Maternus dans son traité personnel des "Mathématiques célestes" donne aux décans des dominations planétaires identiques à celles communément admises. À ce point de vue, Manilius semble donc faire cavalier seul dans la tradition occidentale.

Degrés néfastes

Alors que Ptolémée est muet sur cette question, Manilius considère certains degrés comme néfastes :

Tous ces degrés péchant par le froid, le chaud, le sec ou une humidité sur abondants rendent l’air stérile (IV, 497 et suite.)

Ce sont :


L'Homme-Zodiaque, dont il n'est nulle part question dans Ptolémée, est également défini par Manilius :

Le corps de l'homme est pareillement distribué entre les signes célestes de manière que, quoique leur protection s'étende au corps entier, chaque membre cependant dépend plus particulièrement du signe auquel il est déporté ; ainsi le Bélier domine sur la tête, le Taureau sur le cou, les bras appartiennent aux Gémeaux, la poitrine à l’Écrevisse ; les épaules sont votre partage, ô Lion de Némée ! et les flancs celui de la Vierge ; les parties inférieures du dos sont soumises à la Balance, celles de la génération au Scorpion ; les cuisses sont le domaine du Sagittaire, et les genoux celui du Capricorne ; les jambes sont sous la protection du Verseau, les pieds sous celle des Poissons. (Livre IV, 698-706).

Les lecteurs des Cahiers ont pu se rendre compte, par ces brefs commentaires, de l'importance historique de l'"Astronomicon". Pourtant, nous ne leur en avons fait connaître qu'une bien faible partie ; nous n'avons nullement, en effet, cherché à leur donner une analyse de cet ouvrage, mais seulement à mettre en évidence les points de la Tradition sur lesquels l'"Astronomicon" complète (plus d'un siècle avant la lettre, ne l'oublions pas), le "Tetrabiblos".

Pour le reste, nous devons dire qu'à part la question des Directions Primaires que Ptolémée est le premier à nous faire connaître, il n'est à peu près rien des quatre livres qui ne soit antériorisé par les vers du poète latin.
 
 À voir également sur De Sphæris : ASTRONOMICON, Livre 1, par Marcus MANILIUS

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Notes

  1. Voir la traduction de ce chapitre dans le numéro 3 des Cahiers Astrologiques.
  2. Principes d'astrologie scientifique (Payot, éditeur).
  3. Voir la réfutation de cette audacieuse affirmation dans la critique du livre du M. Tucker parue dans le numéro 10 des Cahiers Astrologiques.
  4. Stace, Martial, Manilius, Lucilius Junior, Gratius. Faliscus, Nemesianus et Calpurnius, œuvres complètes avec la traduction en français, publiées sous la direction de M. Nisard. Firmin Didot et Cie, 1884.
  5. Ce passage de l'Almageste prouve évidemment que Firmicus Maternus et de nombreux autres Astrologues se trompaient en croyant le Milieu du Ciel de Ptolémée à mi-distance de l’Ascendant et du Descendant.
  6. On peut s'étonner que nous ayons séparé ces significations de maisons cardinales de celles des angles : ainsi fit Manilius. 

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