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| Le mémorial de la Royal Air Force à Londres L'envol d'un aigle sur un globe zodiacal |
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| Les Poissons, le Bélier, le Taureau et les Gémeaux |
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| Au dessus de l'entrée principale de Adelaide House |
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| Le figure tient devant elle un globe ceint d'une bande zodiacale en bronze |
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| Le Taureau, le Bélier et les Poissons |
Le passage Fitzjames du Merton College à Oxford
Merton College est l'une des plus anciennes unités d'enseignement qui constituent l'université d'Oxford au Royaume-Uni. Il a été fondé en 1264 par l'évêque de Rochester, Walter de Merton.
Son architecture est structurée en plusieurs cours rectangulaires, les "quadrangles", bordées de bâtiments.
L'accès au "Fellow's quad" à partir du "Front quad" se fait par un large passage, le Fitzjames Gateway, construit au début de la Renaissance Tudor, vers 1500. Il s'agit d'une large voute de pierre jaune, décorée de signes du zodiaque sculptés avec au centre des armes royales Tudor, avec dragon et lévrier.
La commande de ce passage et de sa décoration sont attribuées à Richard Fitzjames, vice-chancelier de l’Université d'Oxford en 1481 et 1491, qui fut successivement évêque de Rochester, évêque de Chichester et évêque de Londres.
Le passage est composé de deux ouvertures en ogive large et de deux murs de pierre, tous quatre agrémentés en haut au centre d'un signe zodiacal cardinal : le Bélier à l'est, le Cancer au sud, la Balance à l'ouest et le Capricorne au Nord. Autour du centre, les arches de la voute se croisent en octogone, dont chaque angle porte une figure zodiacale de pierre.
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| Le Fitzjames Gateway du Merton College d'Oxford. Une sculpture représentant un signe zodiacal décore chaque croisement d'arches. |
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| La Vierge, Le Scorpion et le Sagittaire |
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| Les Gémeaux |
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| Le Lion |
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| Le Verseau |
La cathédrale de Rochester
.JPG "© De Sphæris – association Météores")
L’église cathédrale du Christ et de la Bienheureuse Vierge Marie est une église anglaise d’architecture normande située à Rochester, dans le Kent.
L’évêché de Rochester, deuxième plus ancien après Canterbury, a été fondé par saint Augustin pour convertir les païens anglais au christianisme au début du VIIe siècle. La cathédrale a été consacrée par l'archevêque de Canterbury, assisté par treize évêques, en présence du roi Henri Ier d'Angleterre, en 1130.
Le bâtiment actuel, construit en pierre de Caen, est considéré comme l'un des plus beaux du pays, notamment pour ses façades romanes.
En plus de quelques parties de carreaux médiévaux, le trottoir de l’extrémité orientale de sir George Gilbert Scott incorpore les constellations du Zodiaque et la Terre au centre, devant le Maître Autel. Un grand nombre des carreaux de sol ont été refaits dans les années 1870, basés sur un tracé médiéval. Le zodiaque est lié à la fenêtre supérieure qui représente le Christ universel.
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| Le cercle zodiacal devant la Maître Autel |
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| Les douze signes du zodiaque, représentés par leur glyphe et leur figure |
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| Le Scorpion, le Sagittaire, le Capricorne et le Verseau |
L'Opus Alexandrinum à Canterbury
Sa cathédrale, fondée en 547, est l'une des plus anciennes et des plus célèbres églises chrétiennes d'Angleterre, dont la conversion au christianisme a débuté avec des missionnaires venus des pays celtes et de Rome, Saint Augustin de Cantorbéry notamment.
Le roi Henri IV d'Angleterre et Édouard le Prince Noir y sont enterrés. Haut lieu de pèlerinage, elle a été la scène du meurtre de l'archevêque Thomas Becket en 1170.
La cathédrale de Canterbury est l'un des plus beaux exemples de l'architecture médiévale normande en Angleterre. Le chœur a été reconstruit après l'incendie de 1174, dans le style gothique, avec des arcs-boutants, de hautes arches et des voûtes en ogive qui créent un intérieur tout en hauteur. La nef a été reconstruite entre 1390 et 1410. La tour centrale normande, démolie dans les années 1430 a fait place, entre 1490 et 1510, à la tour actuelle, haute de 90 mètres.
La tombe de Becket a été déplacée et détruite au cours des siècles, jusqu'à la chapelle de la Trinité ; c'est désormais une bougie qui brûle à l’endroit où se trouvait son dernier sanctuaire.
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| La chapelle de la Trinité. Une bougie (en haut à droite) brûle sur le site du sanctuaire de saint Thomas Becket. Au sol, deux espaces des dix-huit rondeaux chacun montrent notamment les signes du zodiaque. |
Ce pavement est nommé Opus Alexandrinum, d’après le style commandé par l’empereur Alexandre Sévère pour les basiliques de Rome. Il se dit qu'il était l’un des plus impressionnants et des plus couteux à poser dans l’Angleterre médiévale.
Le pavement comprend deux espaces composés de rondeaux à fond noir, dont certains représentent, en matière bistre, les signes du zodiaque, les travaux des mois, les vertus et les vices, ainsi que des bêtes fantastiques ou des figures géométriques.
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| L'un des deux ensembles de rondeaux, avec, disséminés, la Balance, le Taureau, le Cancer et la Vierge |
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| Le Verseau, les Poissons et le Bélier |
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| Les Gémeaux |
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| Le Cancer |
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| La Balance |
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| Le Verseau |
Bien
que l’origine des rondeaux est inconnue, il est vraisemblable qu'elle soit en rapport avec la ville française de Saint-Omer. Le sol de la cathédrale de
Saint-Omer présente des éléments très semblables, zodiacaux notamment,
mais dispersés du fait de nombreux réaménagements. Les rondeaux sont
faits d'un mélange de pierre, d'oolithe et de marbre rose.
Il est difficile de distinguer une organisation particulière dans l'agencement des signes du zodiaque, qui, traditionnellement, se suivent selon l'ordre Bélier, Taureau, Gémeaux, Cancer, Lion, Vierge, Balance, Scorpion, Sagittaire, Capricorne, Verseau et Poissons. Cette difficulté tient d'une part au fait que certaines figures sont impossibles à déchiffrer à cause de l'usure, et d'autre part au fait que le pavement a été plusieurs fois réaménagé, et désorganisé, lors de
réparations, notamment la démolition du sanctuaire en 1538.
Les rondeaux illustrant les travaux de chaque mois, toujours associés chacun à un signe du zodiaque et probablement sujets, eux aussi, à des réaménagements erratiques, n'apportent pas de clés à cette énigme.
Un élément important est toutefois repérable par l’œil de l'astrologue. Dix rondeaux zodiacaux pourraient en effet être placés de façon symétrique selon la planète qui maitrise chaque signe. La tradition astrologique met en correspondance symbolique la planète Mercure avec Les Gémeaux et la Vierge (en bleu dans le schéma ci-dessous), Vénus avec le Taureau et la Balance (en vert), Mars avec le Bélier et le Scorpion (en rouge), Jupiter avec le Sagittaire et les Poissons (en mauve), Saturne avec le Capricorne avec le Verseau (en gris foncé), la Lune avec le Cancer (en gris clair), le Soleil avec le Lion (en Jaune).
On pourrait émettre l'hypothèse que la Balance serait mieux placée dans l'ensemble de droite à la hauteur du Taureau, et que la Vierge et les Gémeaux pourraient être inversés. L’ensemble de gauche comprendrait alors la série complète allant du Verseau au Cancer, celui de droite comprendrait alors, de façon symétrique, la série complète allant du Lion au Capricorne.
Cette hypothèse sous-entend que les bâtisseurs du Moyen-Age avait la connaissance astrologique des liens entre signes et planètes (maîtrises) et pas seulement celle des calendriers.
L'église Saint Mary the Virgin, à Lynton
On y trouve une chaire octogonale de bois sculpté où sont représentés les signes du Zodiaque stylisés par paires et entrelacés. Les figures sont fortement teintées d'influences chrétiennes.
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| La chaire et ses panneaux de bois sculpté représentant les signes du Zodiaque |
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| Le Bélier et le Taureau. Les cornes du Bélier évoquent la race ovine Herdwick, typique du nord-ouest de l'Angleterre |
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| Les Gémeaux et le Cancer. Les enfants sont auréolés. L'un d'eux, tenant une crosse pastorale, sermonne l'autre qui étreint un mouton. Peut-être évocation du sermon sur la montagne. |
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| Le Lion, la Vierge et la Balance. La représentation de la Vierge est explicitement chrétienne |
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| Le Scorpion, reconnaissable principalement à son dard, et le Sagittaire en archer auréolé et ailé |
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| La Capricorne, représenté par une chèvre, et le Verseau, représenté par sa simple amphose posée sur les eaux |
L'église Saint Augustin à Brookland
![Saint Augustin est célèbre pour son clocher en bois détaché qui se dresse devant l’église. La tour a été construite dans la seconde moitié du 13ème siècle comme une structure ouverte et a été doublé en hauteur à son actuelle 18m (60ft) et revêtu de bardeaux au 15ème siècle. L’intérieur raffiné de cette église du 13ème siècle contient les bancs de boîte les plus élevés sur le marais et un double pont-chaire avec table de sondage. Une peinture murale médiévale du meurtre de l’archevêque Thomas Becket survit dans la chapelle du sud-est, et une police de plomb normande est toujours utilisée dans la nef. L’église St Augustine est une église anglicane de premier rang dans le village de Brookland, dans le Kent, dans le marais Walland, à environ 5 miles (8,0 km) au nord-est de Rye, East Sussex. Il a été construit à l’origine vers 1250. Il a la caractéristique inhabituelle que le clocher est séparé du reste de l’église. L’église est dédiée à saint Augustin, premier archevêque de Canterbury. [2] À l’intérieur, la nef et le chœur sont continus, sans arc de chœur, et il y a une allée sud qui court sur toute la longueur de l’église. Les arcades ont sept arcs du côté sud et six du côté nord; les fenêtres n’ont pas de vitraux. Il y a des bancs, construits vers 1738. [1][4] À l’extrémité est du mur sud de la chapelle sud se trouve la partie survivante d’une peinture représentant le martyre de Thomas Becket en 1170; cela a été découvert en 1964, et on pense qu’il a été peint dans la seconde moitié du 13ème siècle. [1][4][5] La police La police, faite vers 1200, est circulaire et faite de plomb. Il y a deux cours de décoration : le cours supérieur montre les signes du zodiaque, et sur le cours inférieur sont représentés les travaux agricoles appropriés à chaque mois de l’année. Sur une arche au-dessus de chaque travail, le mois, en français ancien, est montré. [1][4][5]](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbY1l3_YcgXS_NiuXTbkWeNhQGrh8002mZtp3FSwYmLQMeI78EYiSbARUq2-xqz6w6uzgxf4u_rUZba_9cDhegGAaNWydzy4qs-WPpUbqXBVRl_ejV83acueQh2zvDcImoApOJ3QDOmeamwZILZ85_q_ftyjogoz0YgWc1o0IshNdc-2eV1ktfmo8J4g/s4288/DSC_0018.JPG "© De Sphæris – association Météores")
À l’intérieur, la nef et le chœur sont continus, sans arc de chœur. Sur l'un des murs, une peinture médiévale figure le meurtre de l’archevêque Thomas Becket.
Au sud-est de l'église, une cuve de plomb normande, les fonts baptismaux, est toujours utilisée dans la nef.
La cuve circulaire, réalisée vers 1200, est ornée de deux schémas narratifs à la façon d'un calendrier. Le premier représente les signes du zodiaque. Sur le second sont représentés les travaux agricoles appropriés à chaque mois de l’année. Elle a vraisemblablement été fondue sur le continent, son texte étant en partie en
français normand. Elle est très proche des fonts baptismaux de Saint-Évroult-de-Montfort, en Normandie.
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| Les arcs de Saint Augustin, et les fonts baptismaux au centre |
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| La cuve de plomb qui reçoit les eaux du baptême |
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| Le Sagittaire et le Capricorne, la glandée et l’abatage du porc |
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| Le Bélier et la Taureau, la taille des arbres et le jardinage, qui ressemble beaucoup à une représentation du signe de la Vierge |
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| La Balance et le Scorpion, représenté par un crapaud, le battage du blé et le foulage du raisin |
Le château de Cardiff
À Cardiff, au pays de Galles, un remarquable château se dresse en plein centre ville. Érigé par les Normands en 1091, il s'appuie sur les anciennes fondations d'un castrum romain. En dehors de son donjon, il a été totalement reconstruit et redécoré par William Burges à partir de 1865, sous l’impulsion de son propriétaire, John Patrick Crichton-Stuart, marquis de Bute. La riche famille Bute avait largement contribué à transformer Cardiff en une prospère ville minière et portuaire.
William Burges est un architecte britannique de style néo-gothique qui s'est illustré durant l'époque victorienne. Il est considéré comme l'un des meilleurs de sa génération. Avec le réaménagement du château de Cardiff, il a exprimé une vision personnelle du Moyen Âge, à l'instar de Viollet-Leduc, et des importations de ses nombreux voyages.. Il a amené par son œuvre un nouveau style éclectique, proche du préraphaélisme et du gothisme.
Par sa créativité et son excentricité, il a associé à Cardiff les styles gothique, renaissance, japonais, assyrien, islamique et byzantin. Maître du détail et de la fantaisie, il veillait autant à l’architecture qu'au mobilier, à l'orfèvrerie, aux vitraux et à la sculpture, aux décors élaborés en bois, en pierre, en marbre, en métal, peints de couleurs vives et or.
Dans tous les aspects du design, Burges a apporté de la couleur et de l'énergie, de la scintillance et du fantastique. Les symboles et les références à la mythologie, à l'astrologie, aux épopées et au monde des fées sont abondamment valorisés en éléments de décor dans son oeuvre.
À l’intérieur des murs du château, que Burges transforme en une somptueuse demeure seigneuriale, l’œil est d’abord attiré par le vieux donjon normand, compact sur sa butte. L'ancien château, sur lequel Bruges a prise quant à l’architecture et au design intérieur, s'étire alors vers le haut dans une série de tours extraordinaires de formes et de tailles différentes. Il se transforme également par des aménagements intérieurs remarquables, par de nouvelles pièces aux décors dramatisés : le fumoir d'hiver, le salon arabe, la salle de banquet, la bibliothèque, le jardin en toiture terrasse, la chambre de Lord Bute et d'autres encore dans la tour de l'horloge.
En plus de ses cadrans colorés et dorés et de son héraldique, la tour de l'horloge montre les planètes, nommées sous les figures de trois mètres de haut comme Mercure, Luna, Mars, Jupiter, Saturne, Vénus et Sol.
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| Les statues astrologiques de la tour de l'horloge du château de Cardiff, et en particulier la Lune, au-dessus du crabe du Cancer. |
Luna tient un croissant de lune de la main gauche et de l'autre un disque montrant un homme accompagné d'un chien et portant sur l'épaule une sorte de botte de paille ou de fagot. La référence mythologique est énigmatique. Peut-être s'agit-il du vers de Shakespeare dans Le songe d'une nuit d'été "Tout ce qui me reste à vous dire, c'est de vous déclarer que la lanterne est la lune ; moi l'homme dans la lune ; ce buisson d'épines, mon buisson d'épines ; et ce chien, mon chien".
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| Saturne, Jupiter, Mars et le Soleil. |
Saturne
est représenté par un personnage âgé, à la mise simple, muni d'une houe
(et non d'une faux) avec à ses pieds un amphore d'où l'eau s'écoule (le
Verseau) et sous la statue, une représentation dorée du Capricorne.
Jupiter
est représenté par un personnage d'âge mûr, couronné et vêtu de façon
royale. Il porte de la main droite un sceptre qu'on pourrait prendre pour
un fulmen, de la gauche un centaure archer doré. À ces pieds une
représentation des Poissons.
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| Saturne et Jupiter |
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| Vénus et Mercure. |
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| Aux pieds de Mercure, les deux signes qu'il maîtrise : la Vierge et les Gémeaux |
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| Mars |
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| Le fumoir d'hiver et les signes du zodiaque au plafond |
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| Le Cancer et la Vierge |
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| La Balance et le Sagittaire |
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| Le Capricorne et les Poissons |
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| La nuit, dissimulant le soleil sous un voile, et le jour, au soleil resplendissant |
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| Un archer ailé sur le manteau de la cheminée du fumoir d'hiver. Il prend appui sur une chèvre à queue de poisson, caractéristique du signe du Capricorne |
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