LE THÈME NATAL DE MORIN DE VILLEFRANCHE, extraits de "Ma vie devant les astres", collationnés dans l'Astrologia Gallica et traduits par Jean Hiéroz

Dans l'Astrologia Gallica (1661), Morin de Villefranche, professeur de Mathématiques au Collège de France, le plus grand et le dernier astrologue des Rois de France, prend fréquemment ses thèmes personnels généthliaques, de révolution ou de transits comme exemples vécus des règles qu'il énonce. En 1943, Jean Hiéroz réunit, en suivant l'ordre chronologique, ces exemples éparpillés tout au long de l'ouvrage sous le titre "Ma vie devant les astres". Les deux premiers chapitres sont proposés ici, illustrés de reproductions des cartes du ciel originales.    

 
Dans l'Astrologia Gallica (1661), Morin de Villefranche, professeur de Mathématiques au Collège de France, le plus grand et le dernier astrologue des Rois de France, prend fréquemment ses thèmes personnels généthliaques, de révolution ou de transits comme exemples vécus des règles qu'il énonce.
  
En 1943, Jean Hiéroz réunit, en suivant l'ordre chronologique, ces exemples éparpillés tout au long de l'ouvrage sous le titre "Ma vie devant les astres".
    
Les deux premiers chapitres sont proposés ici, illustrés de reproductions des cartes du ciel originales.
   

Le thème natal de Morin de Villefranche et les diverses domifications   
     
Je naquis, dit Morin, le 23 Février 1583, à 8 heures 33 minutes du matin (Temps vrai) la nouvelle Lune avait précédé ma naissance d'une journée (22 Février, à 9 heures 43 minutes du matin, Temps vrai).
     
La nouvelle Lune précédant la naissance de Morin de Villefranche
Cette naissance, continue notre auteur, est remarquable et franchement mauvaise du fait de l'extraordinaire réunion de Planètes (Cf. note 1) dans la vallée de Misères que constitue la XIIe maison. Toutes les planètes s'y trouvent réunies à l'exception du seul Mars. Heureusement les maux découlant de cette figure sont tempérés par la nature bénéfique de Jupiter et de Vénus et par la présence des Luminaires. Car, lorsque les Luminaires sont significateurs de maux, ces derniers, ou sont légers, ou comportent de nombreux espoirs de délivrance ou d'évasion.
   
Le thème de nativité de Morin de Villefranche selon Regiomontanus  
La figure dressée selon la méthode Reggio (Cf. note 2) est confirmée par tous les faits importants de mon existence et met en évidence la fausseté de la domification selon le « modus æqualis ». Dans cette dernière figure, la cuspide de XII se situe à 27°34’ Poissons et la cuspide XI à 27°34' Verseau, mettant ainsi toutes les Planètes en onzième maison, la maison des Amis.
   
Le thème de Morin selon « modus æqualis »
 
Que j'eusse été heureux si ce « Modus æqualis » était la véritable et naturelle Domification! Toutes les Planètes agissant et signifiant en vertu de leur présence, que d'Amis, Rois et Puissants Ecclésiastiques m'eussent comblé de bienfaits, grâce au Soleil, à la Lune, à Jupiter, à Saturne et à Vénus, tous puissants au maximum en XI puisque, selon l'axiome cher aux Astrologues, les planètes agissent plus fortement par leur présence que par leur domination. La Lune conjointe à Saturne, maître de cette cuspide XI, eut-elle pu me porter préjudice? Mes ennuis eussent été bien peu nombreux et ma vie se fut écoulée dans une délicieuse liberté! Que de richesses aussi, grâce à Vénus et à Mercure, maîtres de II, conjoints au Soleil et à Jupiter! Que de bonheur pour mes Parents, après ma naissance, du fait du Soleil et de la Lune dominant la maison IV!


Hélas, mon Destin fut clairement contraire à cette Domification. Aux environs de ma 12ème année, lorsque la Part de la Fortune parvint par direction au carré de Mercure, maître de III, mon Père et ma Mère se trouvèrent tous deux alités : elle, du fait de l’accouchement dont elle mourut ; mon Père, par suite d'une violente poussée de fièvre qui nous fit craindre pour ses jours.
  
Et pendant que nous étions dans l'angoisse, mon Frère aîné me demanda lequel de nos parents je préférais voir disparaître. Je répondis ingénument à cette stupide question en disant que je préférerais voir mon Père guérir (ce qui arriva) ; cependant je les aimais bien tous les deux et je crois même que je préférais ma Mère. Mon Frère eut la bêtise de lui répéter mes paroles. De cet instant, jusqu'a celui de sa Mort qui survint le surlendemain, elle qui m'avait toujours préféré, fut saisie d'une telle haine contre moi qu'elle eut voulu me déshériter complètement et me refuser sa dernière bénédiction. Et ce ne fut que sur les instances de la Famille, qui lui montra la nullité d'un tel testament, et des Prêtres, qui l'inquiétèrent pour le salut de son Âme, qu'elle finit par me bénir et me laisser le minimum légal, ma Sœur recevant le triple de ce qui me revint et mon Frère plus encore. La raison évidente d'une telle disgrâce, à laquelle, sur le moment, je n'avais rien compris, doit être attribuée à la Lune, Maître de IV et de la Part de Fortune, et significatrice par Nature et Détermination de la Mère et de la Fortune, qui se trouvait en XII conjointe à Saturne et présageait ainsi la haine de ma Mère et un grand préjudice pécuniaire du fait de la délation de mon Frère, délation indiquée par la Direction de la Part de Fortune au carré de Mercure, significateur du Frère du fait de sa maîtrise sur la cuspide III et de son aspect partil avec celle-ci.

On sait qu'il existe un axiome Astrologique disant : "Autant de Planètes en XII, autant d'incarcérations"! Il s'en fallut de peu pour qu'au cours de ma seule jeunesse, j'en donnasse une éclatante confirmation, du fait de mon amour pour la vengeance et la volupté, conséquence de la Maîtrise de Mars et de Vénus sur ma Maison I. Cependant, malgré cela et malgré Saturne en XII, grâce à la nature bénéfique de Vénus et de Jupiter, maîtres de XII et conjoints en XII, les périodes périlleuses de ma vie furent toujours suivies de périodes de succès. Ce dont j'ai rendu et je rends, chaque fois que j'y pense, grâces à la bonté Divine. Toutefois, si ce cumul en XII de planètes dont Saturne, Maître du MC, ne put se réaliser complètement par des emprisonnements, il le fit par des servitudes. Et en fait, c'est une véritable incarcération que la servitude à laquelle est astreint un homme sans liberté, servant dans une autre maison que la sienne et obligé pour vivre de se livrer à un autre en toute propriété. De 16 à 46 ans, ma vie fut un véritable esclavage ; j'eus 16 maîtres successifs que j'ai tous quittés ; les uns à la suite de disputes avec leurs épouses dont je ne pus supporter l'autorité (et ce furent Vénus et la Lune en XII qui me procurèrent maux et préjudices de la part des Femmes) ; les autres par suite de circonstances imprévues ; d'autres encore en raison de leur intolérable ingratitude. J'eus des maîtres qui, du fait de la Lune et de Saturne, furent Plébéiens (Notaires, Procureurs, Scribes) d'autres qui, du fait de Jupiter, furent de condition moyenne (Présidents, Abbés, Évêques) ; d'autres encore qui, du fait du Soleil, furent des Grands de ce Monde (comme ce Duc dont j'étais Médecin Ordinaire au cours de la Guerre contre les Hérétiques). Ce dernier en particulier, bien que j'eusse réussi sur lui une opération qui le sauvait et qu’aucun autre médecin n'eut osé tenter, me mit dans l'obligation de l'abandonner en raison de sa formidable ingratitude. Je le quittais d'ailleurs en lui prédisant une maladie mortelle au cours des deux années suivantes, maladie qui Se produisit à la date prévue (Cf. note 3).


En vérité, toutes ces servitudes successives ne m'ont apporté que les haines d'un Cardinal et d'un Duc Maréchal de France.


En particulier, de 21 à 37 ans, lorsque par Direction, mon Horoscope subit les carrés successifs de Mercure, de Vénus, de Jupiter, de Saturne et de la Lune, tous en XII, on ne peut qu'avec peine énumérer tout ce que je dus supporter de misères, de maladies, de préjudices, d'infortunes et de périls mortels dont je ne pus m'évader que grâce à la Miséricorde Divine.


Quel Astrologue, si ce n'est un faible d’esprit, oserait affirmer que tous mes ennuis proviennent de Luminaires et de Bénéfiques en maison XI, dominants en I et sextils de la part de la Fortune? Et au contraire qui ne les considérerait pas comme signifiés et causés par les mêmes planètes en XII, surtout par Saturne, qui, maître du MC en XII, me présage servitude et maîtres ingrats et nuisibles?


Toutefois, dans la figure de la Nouvelle Lune, toutes ces Planètes se sont trouvées en maison XI (celle des Amis) ; et c'est à cela que je dois d'avoir été connu par des Rois, des Reines, des Princes, des Cardinaux et des Grands du Royaume et qu'à quatre ou cinq reprises j'ai été en rapport avec des personnalités éminentes par leur rang, leur probité, leur intelligence et leur science. Celles-ci m’estimèrent soit pour mes connaissances, soit pour ma loyauté, soit tout simplement par sympathie ; elles me rendirent tous les services possibles malgré l’opposition de mon méchant Destin.


En particulier, l’année où je fus fait Docteur en Médecine, ma mémoire a horreur de se rappeler tous les ennemis envieux et détracteurs qui cherchèrent à me nuire en toutes choses et y réussirent surtout pécuniairement. Et pourtant j'ai toujours eu soin de la renommée d'autrui et horreur de l'injustice ; j'ai toujours manifesté une perpétuelle antipathie aux criminels, scélérats ou vauriens qui de leur côté m'ont toujours haï à première vue comme je les ai moi-même reconnus et détestés. J’ai dû subir la diabolique envie des autres médecins dont certains, après avoir été mes amis, devinrent mes pires ennemis. De 1635 à 1654, j'ai dû lutter contre eux de toutes mes forces pour la défense de la Vérité et de mon bon renom. Cela doit évidemment être attribué à Saturne et à Mercure, dominant en XII et néfastes à l'Horoscope, ainsi qu’à Mars, maître de l'Horoscope et trigone de cet amas de Planètes comprenant les Luminaires. Lorsque en 1635, époque où par Direction mon Soleil parvint au Milieu du Ciel, et où j'ai inventé et mis en lumière la Science des Longitudes, l'éminent Astrologue Avenionens m'annonça honneurs, dignités et richesses en raison de la conjonction, avec le MC, de Jupiter et du Soleil ; je lui écrivis qu’une telle direction présageait peut-être une certaine célébrité, mais aussi la haine secrète de quelques Puissants Ecclésiastiques et par suite plutôt dommages que dignités ou profits ; et cela parce que le Soleil et Jupiter étaient en XII avec Saturne, maître du MC. Le Cardinal de Richelieu, par ses injustices à mon égard, se chargea de montrer l'exactitude de cette prédiction.


Que de maux et d’inimitiés me causa ce cumul de Planètes en XII et non en XI !


Enfin, les guerres civiles, les rapines, les pestes, les dettes, les procès et les autres calamités du temps de ma naissance réduisirent mes Parents à cette pénurie qui les empêcha de m'aider dans mes études et me poussèrent, dès mes plus tendres années, à être moi-même l'artisan de ma Fortune et des occasions d'études. Ces occasions furent d'ailleurs bien peu favorables puisque mes études subirent une interruption de dix années. Cette misère de mes Parents apparaissait évidemment dans ma figure de naissance du fait de la Lune Maître de IV en XII avec Saturne et du fait de Mars mauvais sur la cuspide IV dont il était distant de 4°57'.


On voit que ma naissance confirme la qualité de « modus rationnalis » et l'inexactitude du « modus æqualis »!


D'autre part, la figure dressée selon la méthode de Campanus (fig. 4) a sa cuspide IX à 2° du Capricorne et Saturne est seul maître de la maison IX. Or, depuis ma plus tendre enfance, je fus un zélateur fervent de la Religion Catholique au sein de laquelle, par la grâce de Dieu, je naquis et fus baptisé ; et je l'ai toujours hardiment confessée en France, Allemagne, Hongrie et autres pays, en présence des Hussistes, Luthériens ou Calvinistes.
   
Le thème de Morin selon Campanus
Cette naturelle et durable propension ne peut venir du Capricorne, signe mobile, ou de Saturne son maître, même ce dernier étant conjoint à Jupiter, car Jupiter, mauvais à la cuspide IX, et Saturne, mauvais en I, ne peuvent être cause d'une telle inclination. Au contraire, dans la figure selon le « Modus Rationnalis », le maître de IX, maison de la religion, est Jupiter puissant à l'Horoscope par trigonocratie, conjoint au Soleil puissant en IX par triplicité et à l'Horoscope par trigonocratie et exaltation. Jupiter reçoit en outre toutes les planètes, sauf Mercure, dans ses dignités et applique le trigone de Mars, maître de l'Horoscope et trigonocrate en IX. Enfin, les cuspides I et IX sont en trigone partil. Tout Astrologue reconnaîtra les véritables causes de mon inclination au Catholicisme dans la nature, l'état, les dominations et connections avec les autres planètes de mon Jupiter radical ainsi que dans cet aspect trigone des cuspides I et IX. Ajoutons encore que, dans le « Modus Campani » le Cœur du Scorpion, qui m’a mis si souvent en péril de mort violente, ne se trouverait plus en VIII.
  
Le thème natal de Morin, la combustion, les amas, l'action d'une planète en maison opposée et la détermination des significateurs des directions
  
Les Anciens prétendaient que les Planètes Combustes n'ont plus aucune action sur ce Monde Sublunaire. Cependant j’ai Mercure Combuste dans le Verseau et en sextil partil de l'Horoscope, appliquant Vénus également combuste et maître de I. Saturne, maître de Mercure, est en XII et également combuste. Il est certain que je n ai aucune cause céleste d'intelligence plus évidente que ce Mercure qui, quoique peu puissant, ma conféré la possibilité de scruter les sciences les plus sublimes, comme le prouvent mon « Astronomie Restituée » et cette « Astrologia Gallica ».


J'ai encore combuste Vénus, Maître de I, exaltée en Poissons, trigone de Mars, maître de l’Horoscope. J'ai également combustes Jupiter et Saturne, maîtres de IX, conjoints à cette même Vénus en trigone de Mars. Il est difficile d'énumérer toutes les contrariétés corporelles et morales qu'une telle constitution m'apporta au cours de mon existence ; d'abord une continuelle servitude jusqu'a 46 ans du fait de Saturne maître du MC en XII, ainsi que de longues et cruelles maladies du fait des planètes en XII. Je fus plus de 16 fois en péril de Mort violente du fait de Jupiter maître de la Cuspide VIII, cuspide qu'occupe le Cœur du Scorpion, fixe, violente ; ce Jupiter situé en XII et accompagné à droite par le Soleil et Vénus et à gauche par Saturne et la Lune, toutes ces planètes en carré avec la cuspide VIII.


Par direction, l'année où Mercure atteignit le Milieu du Ciel, j’obtins, alors que je ne m'y attendais nullement, la dignité de Professeur Royal grâce à la faveur de la Sérénissime Reine-Mère Marie de Médicis, du fait de Vénus exaltée et suivante. Par direction, l'année où Vénus, maître de I et de la Part de Fortune, parvint au Milieu du Ciel, j'obtins 4.000 livres de Deux magnats pour l'édition de deux ouvrages, édition suivie d'une grande renommée du fait du Soleil et de Jupiter suivants.


Ces exemples et mille autres prouvent que les Planètes combustes ne sont pas privées de leur fonce agissante, tout au moins influentielle.


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Plusieurs planètes dans la même maison donnent à celle-ci une particulière importance et présagent des choses remarquables relatives à leurs significations essentielles. Cela sera d'autant plus notable que le nombre des Planètes de l'Amas est plus grand.


Ainsi, moi qui ai Vénus, le Soleil, Jupiter, Saturne et la Lune en maison XII, j'ai dû endurer fréquemment des maladies malignes et difficiles, j'ai risqué la prison à la suite de fautes que la jeunesse considère comme honorables, j'ai risqué plus de dix fois la mort violente, j'ai subi 16 fois une servitude comparable à la captivité, j'ai pâti de nombreuses inimitiés occultes dues à l'envie, et j'ai été indignement traité par de grands seigneurs comme le Cardinal de Richelieu. Tous ces maux me furent causés par Saturne en XII, malfaisant par son analogie, mais j'en ai réchappé grâce à Jupiter et à Vénus bien affectés et certainement aussi grâce à la Miséricorde Divine.


Quand plusieurs planètes occupent la même maison, celles qui possèdent la maîtrise ou l'analogie doivent être prises en considération avant les autres. Ainsi Jupiter et Saturne de mon thème priment les autres planètes en XII.
  
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Une planète en domicile ou en exaltation dans une maison a un sens défavorable sur les significations accidentelles de cette maison relatives à la maison opposée. Ainsi Jupiter en trône et Vénus exaltée en XII m'ont protégé contre de dangereuses maladies et de nombreux ennemis occultes ; mais j'ai toujours été très malheureux dans le choix de mes serviteurs que je dois changer presque chaque mois.
  
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En 1590, lorsque la direction « Soleil conjonction Saturne directe » arriva à échéance, je fus atteint d'une fièvre quarte. Le Soleil et Saturne, tous deux en XII, sont par détermination Significateurs des Maladies. Le Soleil, plus près de la cuspide, signifie le genre de maladie : la fièvre ; Saturne, lui, en indique la qualité : quarte. Il s'agit ici bien entendu de la Détermination corporelle des Planètes en question, car par Domination, elles peuvent produire d'autres effets. Le Soleil, plus près de la pointe, est considéré dans la Direction comme Significateur et Saturne comme Prometteur ; mais si la deuxième Planète avait été Maître de la Maison ou de Signification analogue, le rôle de Significateur aurait pu lui être attribué. On m'objectera justement ici l'analogie de Saturne avec les maladies ; et, en fait, on peut aussi bien dire que Saturne représente subjectivement les maladies Saturniennes et que le Soleil déclenche la Fièvre, que prétendre, comme je l'ai fait, que le Soleil représente les maladies Solaires (fièvres) et que Saturne déclenche la forme Saturnienne (quarte). On pourrait aussi dire que Saturne donne des maladies Saturniennes, le Soleil des maladies Solaires et leur Concours la fièvre quarte. Le choix du Significateur est, on le voit, extrêmement délicat quand les deux planètes présentent des titres à cette désignation.

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Note 1 : À noter qu'Uranus, qu'ignorait Morin fait également partie de cet amas.
Note 2 : En domification horoplanétaire (ou placidienne), les planètes sont également en maison XII.
Note 3: Il s'agit probablement du connétable Duc de Desdiguières (1543-1626), dont le thème et les révolutions mortifères sont données dans l'Astrologia Gallica, pages 406, 617 et 637.