L'EFFET PLANÉTAIRE EN HÉRÉDITÉ, par Michel et Françoise GAUQUELIN

Une enquête statistique effectuée sur plusieurs dizaines de milliers d'accouchements a permis d'observer une disposition héréditaire des enfants à venir au monde sous certaines conditions qui avaient présidé à la naissance de leurs parents. Les astres du système solaire les plus proches de la Terre ou les plus massifs, la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne, occupent, au moment de la naissance des enfants, des positions analogues dans le ciel, à celles qu'elles occupaient à la naissance de leurs parents.

Extraits tirés du Volume 1 de la série C du Laboratoire d'étude des relations entre rythmes cosmiques et psychophysiologiques, consacré aux professions et à l'hérédité - Michel et Françoise Gauquelin, Paris, janvier 1972.

Introduction

Résumons les principales étapes de notre recherche qui s'est poursuivie durant vingt années d’observations.

Facteurs cosmiques et notabilités professionnelles : commencée en 1949, une enquête sur des milliers de notabilités professionnelles a permis d'observer une relation statistique entre l'heure de la naissance dans la journée et certains facteurs de l'ambiance cosmique. L'effet constaté est en relation avec le mouvement diurne des corps célestes : la position de la Lune et des trois planètes supérieures les plus proches de la Terre, Mars, Jupiter et Saturne, présentent, à l'heure de la naissance des notabilités professionnelles, une distribution qui s'écarte de façon très significative de celle qu'on obtient en constituant des groupes d'individus quelconques examinés à titre de contre-épreuve. En particulier, les enfants destinés plus tard à se faire un nom dans une activité professionnelle donnée, ont tendance à naître lorsque l'un ou l'autre de ces astres vient de se lever ou de passer à sa culmination supérieure au cours de son mouvement diurne et, à un moindre degré, lorsque l’astre vient de se coucher ou de passer à sa culmination inférieure. 

Les groupes professionnels étudiés correspondent aux grandes catégories d'activités humaines (sciences, art, littérature, politique, guerre, sport, etc.). La corrélation statistique varie en fonction du groupe étudié et de la planète examinée. Pour un même groupe les résultats se répètent avec constance à travers les expériences, tentées d'abord en France, puis à l'étranger (Italie, Allemagne, Belgique, Hollande). Les conclusions de ce travail ont été soumises à de nombreux hommes de science. Il ne leur a pas été possible de découvrir à ce jour un artefact caché qui expliquerait les effets observés autrement que par l'intervention d'un facteur exogène (Gauquelin 1957 a ; 1968 g ; 1972 c).
La première partie du présent ouvrage est consacrée au bilan statistique des observations portant sur la naissance des notabilités professionnelles.

Effet planétaire et tempérament psychophysiologique
: pour tenter de comprendre les anomalies statistiques observées, nous avons supposé, dés 1955, qu'elles seraient une expression de certaines dispositions caractérielles et tempéramentales des sujets étudiés (Gauquelin 1955, 1960 b, 1968 f). Une enquête approfondie, portant sur les biographies de plusieurs milliers de personnes faisant partie des groupes professionnels rassemblés précédemment, a été entreprise. On a constaté que, tout en étant insuffisants pour décrire le caractère dans sa totalité, les facteurs statistiques observés semblent refléter dans une certaine mesure une typologie des tempéraments. La description et la définition de ces types supposés font appel à la méthode dite des "traits de caractère" mise au point de partir de 1967. Les résultats de ces enquêtes seront publiés par notre Laboratoire dans les volumes suivants de la Série C (Gauquelin 1969 c ; 1970 a, b ; 1972 b, e, f, h).

Hypothèse d'une sensibilité génétique aux facteurs cosmiques : selon les caractérologues modernes, il existe une base héréditaire aux prédispositions tempéramentales et caractérielles. Dés 1959 l’hypothèse a été faite que les effets statistiques observés pourraient être la conséquence d'une sensibilité spécifique, héréditaire, de l'organisme humain aux variations de facteurs exogènes au moment de la naissance (Gauquelin 1960 b ; 1961 a). De tels niveaux variables de sensibilité aux facteurs exogènes ont été constatés aussi bien chez l'homme que chez les animaux. Sur le point de venir au monde, l’être humain manifesterait une sensibilité spécifique, selon le tempérament qu'il a hérité de ses parents. Tel ou tel facteur de l'ambiance tendrait à provoquer la naissance à une heure plutôt qu'à une autre. L'état des facteurs exogènes à la naissance serait alors une expression du tempérament héréditaire. Cette hypothèse a été testée grâce à la méthode statistique. On a cherché si, entre la naissance des parents et de leurs enfants, des similitudes héréditaires apparaissaient pour la position diurne de la Lune et des planètes proches.

L'effet planétaire en hérédité : Entre 1959 et 1965, une enquête statistique effectuée sur plusieurs dizaines de milliers d'accouchements a permis d'observer, conformément à notre hypothèse, une disposition héréditaire des enfants à venir au monde sous certaines conditions qui avaient présidé à la naissance de leurs parents. Les astres du système solaire les plus proches de la Terre ou les plus massifs, la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne, occupent, au moment de la naissance des enfants, des positions analogues dans le ciel, à celles qu'elles occupaient à la naissance de leurs parents. En particulier, les enfants ont tendance à naître lorsque l'un ou l'autre de ces astres se lève ou culmine, si le même astre s'était trouvé dans les mêmes régions du ciel à la naissance de leurs parents, à un moindre degré si l'astre se couche ou passe au méridien inférieur. On a proposé d'appeler ce phénomène l'effet planétaire en hérédité (Gauquelin 1961 a ; 1962 a ; 1966 b ; 1967 a ; 1968 f ; 1969 e). Signalons toutefois que l'effet ne peut être mis en évidence que si l'accouchement a eu lieu de façon naturelle. D'autre part, on observe que la corrélation statistique décroît en fonction de la distance des planètes à la Terre. Très marquée avec la Lune, Vénus et Mars, elle est moins affirmée avec Jupiter et Saturne, et il est impossible de la mettre en évidence pour les planètes plus lointaines, Uranus, Neptune et Pluton. L'effet disparaît aussi complètement avec Mercure, la plus petite planète du système solaire. Cet effet de distance/masse semble marquer clairement l'intervention d’un phénomène physique.

La seconde partie du présent ouvrage est consacrée au bilan statistique des observations portant sur l'effet planétaire en hérédité.    

Activité solaire et effet planétaire : Ayant ramené les effets statistiques précédents à un problème de sensibilité génétique à des facteurs de l'ambiance, on a tenté d'établir une relation entre l'activité solaire et l'effet planétaire. L'une des mesures les plus fidèles du rôle de l’activité solaire journalière sur la Terre est l'estimation de l'agitation géomagnétique. Reprenant les données de naissance, on a comparé jour à jour l'effet planétaire d'hérédité avec l'agitation géomagnétique. L'agitation magnétique, mesurée par le caractère magnétique international Ci, parait en forte relation avec l'effet planétaire d'hérédité (Gauquelin 1965 ; 1966 b ; 1967 a ; 1968 b, j ; 1969 i). Cet effet augments quand l'agitation géomagnétique augmente. En particulier, le nombre de similitudes héréditaires est deux fois plus élevé si l'enfant est né un jour perturbé (Ci supérieur ou égal à 1.0) que si l’enfant est né un jour calme (Ci inférieur à 1.0). La comparaison de l'effet planétaire, jour à jour également, avec le nombre relatif des taches solaires R, fait apparaître aussi une augmentation de l'effet lorsque R augmente. Mais cet accroissement est de plus faible amplitude qu'avec le Ci.

On trouvera également dans la seconde partie de cet ouvrage les données chiffrées portant sur le rôle joué par l'agitation géomagnétique sur l'effet planétaire.  

Conclusions

Le fait que l'effet planétaire paraisse lié à l'activité géomagnétique incite à penser que la Lune et les planètes proches ou massives seraient susceptibles de provoquer dans le champ solaire un effet de perturbation. Cet effet serait d'autant plus vivement ressenti par l'enfant durant la crise de la naissance que les conséquences de l'activité solaire sur notre globe seraient fortes. La nature de ces perturbations éventuelles, et leur répercussion biologique spécifique, demeurent inconnues. Cependant de récentes observations, dues à l'astrophysique d'une part, et à la médecine obstétricale d'autre part, pourraient constituer les premiers jalons d'une future explication (Brown F. A. 1970 ; CIREFA 1967 ; Hindmarch W. et coll. 1967 ; Piccardi G. 1963 ; Sureau C. 1970 ; Wolstenholme et coll. 1969).
Les effets planétaires observés se présentent à notre avis comme un cas particulier dans l'étude des relations entre facteurs solaires et terrestres en biologie. Car ici l'hérédité et l'ambiance cosmique sont liées : au moment de leur naissance, les individus de l’espèce humaine répondraient aux modifications de l'environnement cosmique selon une sensibilité propre, qu'ils auraient héritée de leurs parents. Chez l'homme, différents types de sensibilité à un même environnement cosmique paraissent exister. Ces types de sensibilité correspondraient plus tard, durant la vie, à des comportements biologiques et psychologiques définis. D'où les effets statistiques apparus sur les notabilités professionnelles. L'effet planétaire d'hérédité parait se présenter comme une manifestation inattendue d'une certaine classification des types psychologiques. Nos enquêtes débouchent donc sur une typologie réactionnelle, d'origine héréditaire, aux facteurs cosmiques de l’ambiance (Gauquelin 1966 b ; 1967 c ; 1968 a ; 1972 f, h).

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Expérience en hérédité

Comme pour l’enquête sur les notabilités professionnelles, notre but était avant tout de trouver une méthode tout à fait objective, c’est-à-dire garantie à tous les stades de la recherche, aussi bien dans la collecte des données de naissance, que dans l'établissement des calculs astronomiques correspondants. C'est la seule façon d'administrer la preuve que nos observations reposent sur une réalité scientifique. Ce n'est pas le lieu ici de décrire en détail cette méthodologie. On la trouvera dans les ouvrages cités en référence (Gauquelin 1955 ; 1957 a, b ; 1960 b ; 1961 b ; 1967 c ; 1968 g ; 1971 a, b ; 1972 c, d). Nous donnerons néanmoins ici quelques indications de méthode suffisantes pour que le lecteur puisse se faire une opinion sur le constat statistique publié dans ce volume.

Les données de naissance

Renseignements de l’état civil
: puisque les effets statistiques observés varient en fonction du mouvement diurne des planètes, l'heure de la naissance nous était nécessaire. Elle est officiellement enregistrée à l’état civil sur les actes de naissance. Pour pouvoir utiliser les registres de l’état civil, deux difficultés durent être vaincues.

La première difficulté est l’accès aux registres de naissance d'une commune pour copier une liste de données sur une assez longue période de temps. La consultation des registres d’état civil est interdite au public, pour des raisons bien justifiées de discrétion. Notre effort a donc porté d'abord sur l’obtention d'autorisations spéciales à ce sujet. Ces demandes d'autorisation ont subi des fortunes diverses, qui expliquent en grande partie les origines locales de nos documents.

Cette première difficulté résolue, une autre s'est présentée. Quand on consulte un registre de naissance, on y trouve tous les renseignements utiles concernant les enfants. Mais les parents restent un problème. Jusqu'au 1er janvier 1923, les actes de naissance de la région parisienne indiquent bien le nom et l'âge des parents, mais ne fournissaient ni leur date de naissance, ni leur lieu d'origine. Heureusement, après cette date, les législateurs ont eu la bonne idée de faire préciser, dans l'acte de naissance de l'enfant, le lieu et la date de naissance de ses parents. Il ne restait plus alors qu'à demander l'heure de naissance des parents à la mairie de la commune où ils étaient nés. C'est pourquoi la plupart de nos enquêtes débutent à la date du 1er janvier 1923.

Enquête initiale à Paris : notre premier relevé a été effectué dans les registres d'une importante mairie parisienne (12° arrondissement). À partir du 1er janvier 1923, nous avons noté les 3 600 premières naissances d'enfants dont l'un ou l'autre des parents étaient né dans ce même arrondissement. De cette façon, nous pouvions trouver sur place les registres indiquant l'heure de naissance du père ou de la mère, ce qui économisait temps et argent.
Nous y avons ajouté ensuite un deuxième groupe de couples parent-enfant, en reprenant les registres à partir du 1er janvier 1923. Cette fois, nous avons relevé les 1 2O0 premières naissances d'enfants dont le père et la mère étaient nés en province. Puis nous avons écrit aux communes de naissance des parents, pour obtenir la date et l'heure à laquelle ils étaient nés. Nous espérions, de la sorte, réunir un nouvel ensemble de 2 400 couples parent-enfant. Mais nous n'avons obtenu les renseignements demandés que dans 2 303 cas, au lieu de 2 400, pour diverses raisons : parfois le document d'état civil était incomplet (en général omission de l'heure de naissance), ou la personne demandée était inconnue dans la commune de naissance indiquée dans le registre parisien ; il y a eu des refus de renseignements purs et simples, heureusement très rares. Enfin, faute de moyens, nous n'avons pu ajouter à nos documents ceux pour lesquels la mairie exigeait le prix d’un acte légalisé ; nous nous sommes contentés des renseignements fournis pour le prix d'un timbre pour la réponse, qui étaient heureusement la majorité. Dans tous les cas, limitant la quantité des documents rassemblés, nous pouvons en fournir la justification. Toutes les réponses reçues de l’état civil sont conservées selon l'ordre alphabétique des mairies dans nos archives. Le degré de confiance que l'on peut accorder aux renseignements de l’état civil a fait l'objet d'une étude spéciale. Ce degré de confiance a été reconnu comme suffisant pour permettre la mise en évidence des effets observés (Gauquelin 1959 c ; 1960 a ; 1968 g ; 1971 a ; Reverchon 1967).

Au total, c'est finalement sur 5 903 comparaisons entre un parent et son enfant qu'a porté l’enquête dans un arrondissement parisien. Leur publication a occupé les deux premiers volumes de la série B (9 846naissances).

Enquête dans les localités de la région parisienne : pour confirmer les résultats de la première enquête, nous avons consulté également les états-civils de certaines localités de la banlieue parisienne. Nous avons ainsi travaillé successivement sur les registres de naissance de Nogent-sur-Marne, Créteil, Joinville-le-Pont, Vincennes et Montrouge.

À Créteil, Joinville, Vincennes et Montrouge, nous avons noté tous les enfants nés entre le 1er janvier 1923 et le 31 décembre 1945, dont les parents étaient nés dans la mémé localité (père ou mère). Nous avons décidé de ne pas relever de naissances postérieures à 1945, car à partir de cette date les accouchements sont très souvent provoqués par les médecins à des heures qui ne sont pas les heures naturelles de naissance (Gauquelin 1957 c ; 1960 a).

Nous avons élargi considérablement notre enquête grâce à l'état civil de la ville de Créteil. Cette ville possède, depuis fin 1937, un hôpital intercommunal doté d'une importante maternité, ce qui a beaucoup augmenté le nombre des enfants naissant dans cette commune. La maternité centralise, en effet, tous les accouchements des personnes vivant dans les communes avoisinantes. Nous avons donc décidé de relever, de 1923 à 1945, toutes les naissances des enfants inscrits à l'état civil de Créteil, et de rechercher la date et l'heure de naissance de leurs parents, qu'ils soient nés à Créteil ou ailleurs.

Dans le but d'agrandir encore le champ de nos observations, nous avons décidé également de remonter avant 1923, afin de posséder un groupe dont les heures de naissance soient plus souvent naturelles. Ce travail a été possible à Créteil, Romainville et Nogent-sur-Marne, en procédant de la façon suivante : avant 1923, les actes fournissaient l'âge et le nom des parents sans la date ni le lieu de leur naissance ; mais grâce à la stabilité de la population dans ces localités, il y a quelque cinquante ans, un assez grand nombre de parents étaient nés dans la même commune que leur enfant. Considérant le nom et l'âge de chaque parent, nous avons donc recherché dans les registres antérieurs de la commune s'il s'y trouvait enregistré. Ce travail était long, mais il nous a permis de trouver l'acte de naissance des parents dans un dixième des cas environ. De sorte que nous avons pu réunir 2 220 comparaisons parent-enfant supplémentaires. Nous n'avons d'ailleurs pas recherché les naissances des parents avant le 1er janvier 1850, car les actes antérieurs à cette date indiquaient des heures de naissance trop souvent fausses ou imprécises pour un travail de comparaisons (Gauquelin 1959 c ; 1960 a ; 1968 g ; 1971 a). À Nogent-sur-Marne, ce travail a pu être fait de 1850 à 1900 seulement, car les registres postérieurs ne nous ont pas été communiqués.

Les recherches dans les localités de la région parisienne, de 1850 à 1945, ont permis de rassembler en tout 10 134 comparaisons parent-enfant. Leur publication a occupé les quatre derniers volumes de la série B (15 115 naissances).

Ensemble de l’enquête sur l'hérédité : Paris et localités de la région parisienne additionnés, la recherche d'hérédité porte au total sur16 037 comparaisons entre un des parents (le père ou la mère) et son enfant. Sur ces 16 037 comparaisons, on en compte 3 487 où la date de naissance de l'enfant peut être comparée successivement à la date de naissance de son père et de sa mère (en tout 6 974 couples de comparaison), et 9 063 où la date de naissance de l'enfant ne peut pas être comparée aux dates des deux parents, mais seulement à celle du père ou de la mère, le second parent ayant fourni des renseignements d'état civil incomplets.

Les données comprennent 3 837 comparaisons entre le père et la fils, 3 471 comparaisons entre le père et la fille, 4 433 comparaisons entre la mère et le fils, 4 296 comparaisons entre la mère et la fille. Chacune des 16 057 comparaisons a porté successivement sur les dix astres du système solaire : Soleil, Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton (table 44).

La présentation qui a été adoptée dans nos publications permet également de considérer les comparaisons des frères et sœurs entre eux. Les résultats des comparaisons entre frères et sœurs sont publiés dans ce volume (table 47) ; le nombre de comparaisons dépasse 6 000 pour chaque planète.

Les données de astronomiques

Données astronomiques : le calcul des éléments astronomiques correspondant aux naissances rassemblées a été effectué au moyen des annuaires astronomiques classiques en France : "Annuaire du Bureau des Longitudes", "Annuaire de Flammarion", "Connaissance des Temps". Les données publiées dans les volumes précédents de la série B correspondent à des positions, par rapport à l'horizon et au méridien du lieu, de la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne en secteur, en fonction de chaque date, heure et lieu des naissances considérés.

Définition d'un secteur : dans son mouvement diurne, au point où le parallèle à l'équateur céleste décrit par un astre coupe l'horizon, l'astre se lève et se couche. Ces deux points divisent le parallèle en un arc diurne et un arc nocturne. L'analyse statistique sur un grand nombre de naissances des positions des astres observés nécessite une division du parallèle décrit par chaque astre en un certain nombre de secteurs. Nous avons adopté, comme division de base du parallèle décrit par l'astre, la division en 36 secteurs. Cette division de base a permis des groupements en 18 et 12 secteurs (voir figure 1) qui sont ceux utilisés couramment dans les bilans statistiques publiés. Ces secteurs sont numérotés de 1 à 36, dans le sens du mouvement diurne, le début du premier secteur se confondant avec le lever de l'astre. L'arc diurne comme l'arc nocturne sont donc chacun divisés en 18 secteurs.

Soit, par exemple, la planète Mars, le 15 décembre 1921, considérée à Paris, on lit, dans les annuaires astronomiques que, ce jour-là, la planète se lève à 2h27 et se couche à 13h22. Elle reste donc 655 minutes au-dessus de l'horizon, et 36 minutes (655 / 18) environ dans chacun des secteurs diurnes ; elle reste 44 minutes environ (785 / 18) dans chacun des secteurs nocturnes.

Place d'un astre en secteur : par définition, Mars est donc en secteur 1 dans les 36 minutes qui suivent son lever, soit de 2h27 à 3hO3, en secteur 2 dans les 36 minutes suivantes, et ainsi de suite, jusqu'à son coucher. Elle sera en secteur 19 dans les 44 minutes qui suivent le coucher soit de 13h22 à 14h06, en secteur 29 dans les 44 minutes suivantes, etc.
Si donc un individu naît le 15 décembre 1921, à Paris :

  • à 3 heures du matin, on dira qu'il est né avec Mars en secteur 1,
  • à 14 heures, on dira qu'il est né avec Mars en secteur 19.

Tables de secteurs : sans modifier cette définition des secteurs, ni la place des astres à l'intérieur de ces secteurs, on a employé en pratique un procédé standardisé permettant de se servir d'une seule table pour les dix astres du système solaire. Les principes qui ont présidé l'établissement des tables, ces tables elles mêmes, ont été publiés en détails (Gauquelin 1957 b ; 1960 b ; 1961 b ; 1966 b). À deux reprises on a pu démontrer que ce procédé standardisé ne modifiait pas les résultats ni les conclusions statistiques que l'on pouvait en tirer (Gauquelin 1959 e ; 1961 b ; 1972 c).

Traitement statistique

L'expérience d'hérédité a été faite quelques années après les résultats obtenus sur les groupes professionnels (voir l'introduction générale du présent volume). Il est important de le noter. Nous pouvons ainsi comparer la position diurne des planètes pour les parents et leurs enfants en suivant la description de l'effet planétaire publiée antérieurement (Gauquelin 1960 b). Grâce à cette description, nous avons pu énoncer, avant que débute l'expérience d'hérédité, une hypothèse précise permettant un traitement parfaitement objectif des données (Gauquelin 1966 b)

L'hypothèse

Pour qu’il y ait effet planétaire en hérédité, il faut que les similitudes de positions des astres du système solaire, pendant leur mouvement journalier, soient fréquentes à la naissance des parents et de leur enfant.
Les résultats de la 1ère partie de cet ouvrage, traitant des groupes professionnels, ont permis de distinguer deux catégories de zones où la planète possède un effet différent :
zones (+) situées après le passage de l'astre après l'horizon et le méridien, et principalement le lever et la culmination supérieure ;
zones (-) situées dans les autres régions du mouvement diurne de l'astre.

Avant d’aborder l'expérimentation sur l'effet planétaire en hérédité, nous devons à nouveau déterminer avec soin la grandeur et la place des zones (+) (Gauquelin 1961 a ; 1966 b ; 1971 b). Reportons-nous à la figure 21 de la page 111. Ce graphique résume toutes les observations planétaires que nous avons enregistrées sur les notabilités professionnelles. Il nous donne des informations précises sur la place et la grandeur des zones (+). Il nous a permis en effet de constater que "l'étendue des maxima semble couvrir chaque fois 1/9 de mouvement diurne. D'autre part, ces régions paraissent situées presque entièrement après le passage de la planète à l'horizon et au méridien, mais commencent peut-être un peu avant" (Gauquelin 1960 b, p.195).

Définition astronomique des zone (+)

Portons tout d’abord notre attention sur les régions du lever et de la culmination supérieure où l’effet planétaire montre un maximum d'intensité. Les deux zones couvrent chacune 1/9° de mouvement diurne : elles rassemblent donc chacune quatre secteurs voisins de la division de base en 36 secteurs. Un secteur se situe avant le passage de l'astre à l'horizon et au méridien et trois secteurs après. Dans la numérotation que nous avons adoptée, on aura donc :

  • zone du lever = secteurs n° 36, 1, 2, 3 ;
  • zone de la culmination supérieure = secteurs n°9, 10, 11, 12.

Par définition nous avons donc appelé :

  • (+) la présence d’un astre dans les zones lever et culmination ainsi délimitées ;
  • (-) la présence d’un astre dans toutes autres régions du mouvement diurne.

Conditions statistiques

Figure 22 – Effet planétaire en hérédité. Conditions astronomiques de l’hypothèse
(Gauquelin 1966 b, p.93)

  • A- Les observations sur les notabilités professionnelles montrent que la planète exerce un effet statistiquement différent selon qu'elle se trouve dans les zones (+) lever et culmination (zones hachurées) ou en dehors de ces zones.
    On a émis l’hypothèse que ces différences sont dues à une sensibilité spécifique de l'organisme au cosmos, liée à sa structure héréditaire. Si cela est vrai, l'effet pourrait se retrouver des parents aux enfants.
  • B- Donc, à la naissance des enfants, si la planète se trouvait dans les zones (+) lever et culmination…
  • C- … à la naissance des enfants, la planète devrait se trouver plus souvent dans l'une de ces zones qu'en dehors d'elles.
  • Et inversement : à la naissance des parents, si la planète se trouvait en dehors des zones (+) lever-culmination, elle devrait se trouver de préférence en dehors de ces zones à la naissance des enfants (imaginer le schéma inverse de C).

Nous pouvons résumer les conditions nécessaires pour mettre en évidence un effet planétaire en hérédité :

  • Lorsque à la naissance du parent (le père ou la mère) une des planètes se trouvait en zones (+) lever ou culmination, son enfant doit naître lui aussi de préférence lorsque cette même planète est en zones (+) et moins souvent quand elle se trouve dans les autres régions du ciel.
  • Inversement, si le parent est né lorsque la planète était en dehors des zones lever et culmination (donc en zones -), il doit en être plus souvent de même de son enfant. (Note : les zones qui suivent le coucher et la culmination inférieure se comportent cependant différemment des autres secteurs - Gauquelin 1966 b ; 1968 i).

Ces conditions statistiques d'apparition de l'effet planétaire en hérédité ont été appliquées sans modification du début à la fin de notre enquête.

Tableaux à double entrée : ils représentent les documents statistiques de base. Ils contiennent le dépouillement secteur par secteur des comparaisons planétaires parent-enfant dans la division en 36 secteurs. Un tableau existe pour chaque groupe et chaque astre étudié. Une attention toute particulière est portée aux secteurs qui appartiennent aux zones (+) lever et culmination. Ces zones (+) sont définies par des lignes horizontales pour les parents et des colonnes verticales pour les enfants.

Exemple simplifié de tableau : il s'agit des observations faites avec la Lune dans l'enquête parisienne. Ici, le mouvement diurne est divisé en 12 secteurs (secteur 1 : lever ; secteur 4 : culmination).

Test de Khi carré (1) : grâce aux chiffres tirés des tableaux de dépouillement des résultats, on peut répartir en quatre catégories les rencontres entre la position de l'astre à la naissance du parent et à la naissance de l’enfant. Reprenons l’hypothèse d'un effet planétaire en hérédité et considérons le tableau 42. Il permet l'application standardisée du test de Khi carré à l’hypothèse d'un effet planétaire en hérédité.

Tableau 42 - Modèle statistique

Ce tableau est divisé en quatre catégories. Les catégories (+ +) et (- -) sont conformes à l’hypothèse, alors que les catégories (+ -) et (- +) vont à son encontre. Pour juger si le nombre de cas pour l’hypothèse d'un effet planétaire en hérédité, (+ +) et (- -), l'emporte de façon significative sur le nombre de cas contre elle, (+ -) et (- +), on applique le test de Khi carré dont la formule est : 
 
Σ (x – x’)2 / x’ = Khi carré (1)

La probabilité de la valeur de Khi carré obtenue par ce calcul pour un astre donné se lit dans la table de Khi carré avec un degré de liberté.

Khi carré (5) : Les valeurs de Khi carré (1) obtenues pour chaque astre séparément peuvent être additionnées. Le résultat de cette addition pour les cinq astres significatifs : la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne, s'écrit Khi carré (5) et sa probabilité se lit dans la table de Khi carré avec cinq degrés de liberté.
Un extrait des deux tables de Khi carré est donné pour différents seuils de probabilité (Tableau 43). On trouvera dans les tableaux n°44 à 43 les valeurs expérimentales de Khi carré (1) et de Khi carré (5) pour chaque expérience en hérédité.

Distributions observées dans tous les secteurs

Le test de Khi carré indique uniquement si l’hypothèse d'un effet planétaire d'hérédité est confirmée ou non. Il ne décrit pas la façon dont se manifeste l'effet tout au long du mouvement diurne. Or il est intéressant de savoir en outre :

  1. si l'effet présente la même intensité dans la zone du lever et dans la zone de la culmination supérieure ;
  2. si d'autres régions, celles du coucher et de la culmination inférieure, par exemple, présentent des anomalies statistiques dignes d’être retenues (Gauquelin 1968 i) ;
  3. si l'expérience d'hérédité et l'expérience sur les notabilités ont des variations de fréquences planétaires analogues.

C'est pourquoi, comme chez les notabilités (voir 1ère partie), les distributions observées en hérédité et les figures correspondantes sont publiées dans les 18 secteurs du mouvement diurne pour différents cas étudiés dans cette expérience (voir tableaux 49 à 53 et figures 23 à 29).

Distributions théoriques correspondantes

Les fréquences théoriques ont été calculées pour chaque secteur. Elles sont données dans les tableaux en regard des fréquences observées, pour permettre la comparaison. La méthodologie du calcul des fréquences théoriques a été décrite dans nos publications antérieures, où l'on trouvera tous les détails sur les principes de calcul, avec des exemples d'applications (Gauquelin 1961 a ; 1966 b).

Direction parent-enfant et enfant-parent


Les distributions en 18 secteurs et les figures correspondantes donnent les résultats dans la direction parent-enfant, qui est celle à laquelle on pense d'abord en hérédité. Mais, comme le montre le tableau 41, les données sont dépouillées dans des tableaux à double entrée : une entrée donne les résultats vus dans la direction parent-enfant (de gauche à droite) à l’autre entrée donne les résultats vus dans la direction enfant-parent (de haut en bas). Nous avons donc trouvé intéressant de donner les résultats des deux directions dans les premiers tableaux des distributions en 18 secteurs : les tableaux 49. Ils fournissent les résultats de l’hypothèse d'hérédité dans la direction parent-enfant (49 A), dans la direction enfant-parent (49 B), et l'addition des deux directions (49 C). En doublant les effectifs, on diminue le rôle des fluctuations aléatoires, et les tendances générales de la distribution apparaissent mieux. La figure 24, qui montre les résultats en 18 secteurs par planète, est ainsi basée sur l’addition des directions parent-enfant et enfant-parent. Cependant, à cause de l'intersection des lignes et colonnes (+), la région (+ +) contient dans les deux cas le même nombre de similitudes planétaires. L'addition des deux directions parent-enfant et enfant-parent reste donc un artifice graphique. Nous ne saurions en tirer des valeurs de probabilité. Celles-ci sont fournies par le test de Khi carré.


Probabilité des résultats

Tableau des valeurs du test Khi carré

Dans chaque expérience sur l'hérédité, les valeurs de Khi carré (1) ont été calculées en fonction du modèle statistique présenté (tableau 42 ci-dessus). Les tableaux publiés dans ce qui suit fournissent les données nécessaires au calcul, soit :

  • catégorie ( + + ) : fréquences observées, fréquences théoriques et leurs différences ;
  • nombre total de parents (+) ;
  • nombre total d'enfants (+) ;
  • total général des comparaisons.

Ces données suffisent pour obtenir les fréquences observées et théoriques des autres catégories du tableau à quatre cases (dont le modèle est donné tableau 42) qui se déduisent des premières. Chaque tableau donne : 

  • valeur du Khi carré (1) pour chaque astre : la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne ; 
  • valeur du Khi carré (5) pour le total des Khi carré (1) des cinq planètes.

Le tableau 43 donne les seuils de probabilité pour différentes valeurs de Khi carré (1) et Khi carré (5).

Tableau 43 - Valeurs de Khi carré : seuils de probabilité

Khi carré selon les planètes

Les valeurs de Khi carré sont significatives pour les cinq astres, Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. L'hypothèse d'une effet planétaire en hérédité parait démontrée pour ces astres.

Pour information, nous donnons le résultat de Khi carré pour les autres planètes du système solaire et pour le Soleil. Pour ces astres, les résultats du test Khi carré ne sont pas significatifs.

Tableau 44 - Khi carré selon les planètes

 Figure 23 - Effet planétaire et distance des planètes à la Terre
en abscisse, les planètes alignées par ordre de distance de part et d'autre de la Terre ; en ordonnée, le seuil de probabilité dépassé par les valeurs de Khi carré obtenues


Seuls les astres situés près de la Terre donnent des résultats significatifs. Parmi eux, les trois plus proches donnent les valeurs les plus élevées

 Tableau 45 - Khi carré selon le sexe du parent et de l'enfant

L'effet planétaire est indépendant du sexe. Les valeurs de Khi carré (5) sont toutes significatives ; les valeurs observées pour la catégorie ( + + ) sont dans tous les cas supérieures aux valeurs théoriques (pour plus de détails, voir Gauquelin 1966 b, p. 117-120). 

  Tableau 46 - Khi carré en fonction de l'époque de naissance de l'enfant

  L'ensemble du matériel a été divisé en trois groupes sensiblement égaux : 

  • enquête faite à Paris, enfants nés avant 1931 ;
  • enquête faite dans la région parisienne, enfants nés avant 1938 ;
  • enquête faite dans la région parisienne, enfants nés entre 1938 et 1945.

Comme le montrent les valeurs du Khi carré (5), l'intensité de l'effet planétaire tend à diminuer aux époques plus récentes. On attribue ce fait à une modification progressive de la politique obstétricale. (pour plus de détails, voir Gauquelin 1966 b, p. 112-115).

Tableau 47 - Khi carré pour les enfants d'une même famille

Pour chaque planète, nous avons divisé nos données de naissance d'enfants en deux : 

  • famille (+) : frères et sœurs issus de parent né avec la planète en zone (+) (lever ou culmination)
  • famille (-) :  frères et sœurs issus de parent né avec la planète en zone (-) (autres régions du mouvement diurne)

Le nombre de similitudes planétaires entre enfants d'une même famille est plus significatif pour la classe des familles (+) que pour celles des familles (-). La mise en évidence d'un effet planétaire entre frères et sœurs est une intéressante confirmation du même effet entre parents et enfants. (pour la procédure utilisée et le calcul des valeurs théoriques, lire Gauquelin 166 b, p. 203).

Tableau 48 - L'effet planétaire en considérant la naissance des deux parents à la fois

Pour chaque planète on a distingué dans notre matériel cinq catégories de parents :

  • ( + + ) parents nés tous deux avec l'astre en zone (+) ;
  • ( + - ) l'un des parents est né avec 1'astre en zones (+), l'autre parent est né avec l'astre en dehors de ces zones;
  • ( - - ) les deux parents sont nés avec l‘astre en dehors de ces zones (+) ;
  • ( + ? ) un des parents (père on mère) est né avec l'astre dans les zones (+), on ignore ce qu'il en est du second parent.
  • ( - ? ) un des parents (père ou mère) est né avec l' astre en dehors des zones (+) ; on ignore ce qu'i1 en est du second parent.

La tendance, pour un enfant, à naitre avec la planète en zones (+) est : 

  • maximum s'il est issu de parents ( + + ) ;
  • minimum s'il est issu de parents ( - - ), comme 1'indique le graphique. 

(Les observations des cinq astres ont été additionnées. Pour le calcul des fréquences théoriques et les détails d'interprétation, lire Gauquelin 1966 b, p. 121-126).


Distributions en 18 secteurs et graphiques

Tableaux des distributions en 18 secteurs

Les distributions en 18 secteurs de mouvement diurne sont publiées pour les cinq astres significatifs en hérédité : la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. Pour chaque fréquence observée, une fréquence théorique a été calculée. Ces fréquences sont arrondies à l'unité. 

Ces distributions sont basées sur la direction parent-enfant. Il s'git de positions planétaires à la naissance des enfants issus d'un parent (le père ou la mère) né avec l'astre en zone (+).

Cependant, dans les premiers tableaux donnant les distributions d'ensemble selon les planètes ( tableaux 49 A, B et C), on a jugé intéressant de publier des résultats dans les deux directions : 

  • A : direction parent-enfant
  • B : direction enfant-parent
  • C : addition des deux directions 

Graphique des distributions en 18 secteurs

Un graphique illustre chaque tableau. Il est construit à partir des différences entre les fréquences théoriques et observées publiées. 

Tableau 49 - Distribution pour la Lune et les planètes dans l'expérience d'hérédité

Direction parent-enfant, c'est-à-dire position des planètes à la naissance
des enfants issus de parent né avec la planète en zone (+)


Direction enfant-parent, c'est-à-dire position des planètes à la naissance
des parents dont l'enfant est né avec la planète en zone (+)


Addition des deux directions


Figure 24 - l'effet planétaire en hérédité pour la Lune et les planètes
en abscisse, les 18 secteurs du mouvement diurne ;
en ordonnée, les écarts entre fréquences théoriques et observées

Après le lever et la culmination des cinq astres, les fréquences observées sont toujours supérieures aux fréquences théoriques. L’hypothèse d'un effet planétaire en hérédité se trouve ainsi confirmée.

Tableau 50 - Distribution selon le sexe du parent et de l'enfant

  • Père : distributions planétaires pour les enfants issus d'un père né avec l'astre en zones (+) 
  • Mère : distributions planétaires pour les enfants issus d'une mère née avec l'astre en zones (+)
  • Fils : distributions planétaires pour les fils issus d'un parent né avec l'astre en zones (+)  
  • Filles : distributions planétaires pour les filles issues d'un parent né avec l'astre en zones (+)   

Les observations des cinq astres sont additionnées.


Figures 25 et 26 - l'effet planétaire en hérédité selon le sexe des parents et le sexe des enfants

 Fréquences planétaires à la naissance  : 

  • première histogramme : des enfants issus d'un père né avec l'astre en zones (+)
  • deuxième histogramme : des enfants issus d'une mère née avec l'astre en zones (+)
  • troisième histogramme : des fils issus d'un parent né avec l'astre en zones (+)
  • quatrième histogramme : des filles issues d'un parent né avec l'astre en zones (+)

Les observations des cinq astres sont additionnées.

 

On constate la très grande ressemblance entre les deux courbes du haut : quel que soit le sexe du parent, l'effet planétaire reste le même. Également, on constate la très grande ressemblance antre les deux courbes du bas : quel que soit le sexe de l'enfant, l'effet planétaire reste le même

Tableau 51 et figure 27 - Distribution et effet planétaire en hérédité
pour les naissances ayant nécessité une intervention chirurgicale

  • Tableau 51 A : distribution tri-horaire des naissances avec interventions chirurgicales ;
  • Tableau 51 B : fréquences planétaires correspondantes pour les enfants issus de parents nés avec l'astre en zone (+) ;
  • Graphique 27 A : distribution journalière des heures de naissance avec intervention chirurgicale ;
  • Graphique 27 B : fréquences planétaires correspondantes pour les enfants issus de parents nés avec l'astre en zones (+).
Les observations des cinq astres sont additionnées.

L'effet planétaire en hérédité disparait complètement pour les naissances ayant nécessité une intervention chirurgicale. Il faut que la naissance soit spontanée et naturelle pour permettre un effet planétaire.

Tableau 52 et figure 28 - Distribution et effet planétaire en hérédité
pour les naissances avant ou après 1938

  • Tableau 52 A : distribution tri-horaire des naissances avant ou après 1938 ;
  • Tableau 52 B : fréquences planétaires correspondantes pour les enfants nés avant ou après 1938 et issus de parents nés avec l'astre en zone (+) ;
  • Graphique 28 A : distribution horaire des naissances avant ou après 1938 ;
  • Graphique 28 B : fréquences planétaires correspondantes pour les enfants nés avant ou après 1938 et issus de parents nés avec l'astre en zones (+).
Les observations des cinq astres sont additionnées.
 

 La courbe horaire des naissances, de même que l'effet planétaire, se décale vers l'avant après 1938.

Tableau 53 et figure 29 - Distribution et effet planétaire en hérédité
considérant la naissance des deux parents simultanément

  • Tableau 53 : fréquences diurnes de la planète à la naissance de l'enfant fonction de catégories de parents : ( + + ), ( + - ) et ( + ? ), ( - - ), ( - ? ) ;
  • Figure 29 : fréquences planétaires en 18 secteurs pour les enfants issus de parents ( + + ) - ligne continue - et pour les enfants issus de parents ( + - ) et ( + ? ) - ligne pointillée ;
  • Figure 29 : fréquences planétaires en 18 secteurs pour les enfants issus de parents ( - - ) - ligne continue - et pour les enfants issus de parents ( + - ) et ( + ? ) - ligne pointillée ;
Les observations des cinq astres sont additionnées à l'intérieur de chacune de ces catégories.

Lorsque les deux parents sont nés sous les mêmes conditions planétaires, l'effet planétaire en hérédité avec leur enfant est plus fort que lorsque les parents sont nés sous les conditions planétaires opposées. 

Tableau 54 et figure 30 - Comparaison de l’effet planétaire
chez les notabilités professionnelles et en hérédité

Le tableau 54 fournit les différences entre fréquences observées et théoriques dans les distributions en 18 secteurs pour :

  • Professions : on a centralisé les observations significatives faites chez les notabilités professionnelles à partir de la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne (cf. 1ère partie, tableau 40). Le sens des écarts des distributions significativement négatives ont été inversés et additionnés à ceux des distributions significativement positives ;
  • Hérédité : les distributions de la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne à la naissance d'enfants issus de parents nés avec le même astre en zones (+).
Les figures 30 A et 30 B fournissent les courbes d'intensité de l'effet planétaire pour les notabilités et en  hérédité.
  • En abscisse : le mouvement diurne divisé en 18 secteurs ;
  • En ordonnée, les différences entre fréquences observées et théoriques ;
  • Courbe 30 A : notabilités professionnelles (Série A). Tous les résultats significatifs pour la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne ;  
  • Courbe 30 B : l'expérience hérédité (Série B). Distributions de la Lune, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne à la naissance des enfants issus de parents nés avec le même astre en zones (+).  

L'effet planétaire présente les même caractéristiques pour les notabilités professionnelles qu'en hérédité.
Le coefficient de corrélation entre les deux séries de 18 valeurs s’élève à +0,83, avec une probabilité inférieure à 0,00001.
Il y a donc bien identité de l'intensité de l'effet planétaire pendant le mouvement diurne chez les notabilités professionnelles et en hérédité (pour plus de détails, lire Gauquelin, 1966 b, p.103).

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Références :
seuls les livres et articles en rapport avec le sujet de ce volume sont indiqués ici.

Bibliographie - Michel et Françoise GAUQUELIN (1955-1972)

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  • GAUQUELIN M. (1956) : Influence des astres et Astrologie. C. A., N°62  : 117 -122.
  • GAUQUELIN M. et GAUQUELIN F. (1957a) : Méthodes pour étudier la répartition des astres dans le mouvement diurne (Préface de Jean Porte, Administrateur à l'INSEE), 112 p.
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