Au fil des millénaires, les astrologues sont passés d’une lecture plus concrète du Zodiaque à une lecture plus introvertie. De sorte que l'on a l'impression que l'on se trouve dans un mouvement qui voit les caractères zodiacaux d'une façon de plus en plus proche de l'introversion que d'une compréhension psychologique de ce qui, autrefois, était au contraire lu comme vivant dans des choses, dans l'extraversion. C'est avec la tradition juive, vers les XIe et XIIe siècles, que l'on commence à introvertir les valeurs des signes. C'est tout le processus de l'astrologie qui passe de l'extraversion à l’introversion. Elle s’intériorise de plus en plus, et, par exemple, la qualité négative et destructrice du Scorpion devient progressivement la destructivité morale.
Article paru dans "Trigone" n° 3 - Nouvelle série
Au fil des millénaires, les astrologues sont passés d’une lecture plus concrète du Zodiaque à une lecture plus introvertie. De sorte que l'on a l'impression que l'on se trouve dans un mouvement qui voit les caractères zodiacaux d'une façon de plus en plus proche de l'introversion que d'une compréhension psychologique de ce qui, autrefois, était au contraire lu comme vivant dans des choses, dans l'extraversion.
C'est avec la tradition juive, vers les XIe et XIIe siècles, que l'on commence à introvertir les valeurs des signes. C'est tout le processus de l'astrologie qui passe de l'extraversion à l’introversion. Elle s’intériorise de plus en plus, et, par exemple, la qualité négative et destructrice du Scorpion devient progressivement la destructivité morale.
Un des problèmes de notre réalité culturelle actuelle est celui d'un désaccord entre le savoir officiel et le savoir astrologique. Cela dure depuis quelques siècles. Est-il possible de changer cette situation ? Si on veut percer dans la culture humaine, en apportant quelque chose de réellement nouveau qui brise les lois actuellement admises, il est important que notre savoir se donne toutes les bases dans les preuves, dans la documentation, dans sa cohérence, qui puisse permettre cette dernière cette manière nouvelle de s'imposer.
Le problème soulevé est donc celui de la vérification des affirmations astrologiques. La question, pour moi, au départ de l'enquête, de la recherche que j’ai faite, était la suivante : quand vous posez des questions à vos statistiques ou à vos calculs des probabilités, à quoi faites-vous appel ? Vous faites appel, par exemple, si l'on cherche les aspects des champions sportifs ou des grands généraux, ce qui a été fait, ou d'autres recherches sur des qualités attribuées à la nature d'un signe, vous posez donc, dans vos enquêtes, certaines questions, en supposant que ces questions définissant les qualités du signe ou de l'aspect de la planète, que l'interrogation que vous posez aux statisticiens soit exacte. Et là, l'historien apparaît avec ses problèmes. Car sur quoi vous fondez-vous ? L'astrologue, habituellement, a des lectures et a donc un certain savoir, il pose ces problèmes sur la base de ce savoir qui est le sien. Il fait référence à la tradition, parfois, il est suffisamment informé pour savoir que ce mot de « tradition » est abusif, qu’en fait les traditions sont multiples, mais il n’a ni le devoir ni la possibilité actuellement de connaître la complexité de ce qui a pu créer, le long des millénaires, la tradition, et il est obligé de poser des questions dont certains ont la profondeur de la durée millénaire, des qualités qui peuvent donner certains garanties, qu'elles répondent à ce que les hommes ont toujours attribué comme qualités à un aspect ou à un signe. Mais d'autres n'ont pas du tout cette profondeur.
J'ai trouvé, par exemple, qu'il y a des attributions d'aspects à un signe qui naissent seulement de l'erreur d'un copiste du Moyen-âge et qui émergent dans les ouvrages qui peuvent former notre capital d'information. De sorte que si vous vous trouvez à mélanger une donnée qui a la force et la cohérence dans les millénaires avec une donnée qui, étant liée à l'interprétation très particulière, ou d'un moment précis de l'histoire, ou bien même à une erreur, vous risquez, lorsque vous allez essayer de vérifier dans les statistiques, d'avoir des réponses brouillées et qui font tomber la possibilité de reconnaître avec certitude la validité scientifique du moyen que vous utilisez.
Donc si, d'un côté, l'historien comprend que, dans l’effort que font les astrologues pour vérifier ou donner valeur scientifique à leur forme de savoir, par ailleurs, dans sa forme spécifique de savoir, il se rend compte que tout n'a pas du tout la même valeur, la même qualité, dans les interrogations qu'ils posent, parce que, dans les instruments d'information qui sont les siens, les choses sont infiniment plus compliquées qu'habituellement l'astrologue pratiquant ne le sait.
Donc si, d'un côté, l'historien comprend que, dans l’effort que font les astrologues pour vérifier ou donner valeur scientifique à leur forme de savoir, par ailleurs, dans sa forme spécifique de savoir, il se rend compte que tout n'a pas du tout la même valeur, la même qualité, dans les interrogations qu'ils posent, parce que, dans les instruments d'information qui sont les siens, les choses sont infiniment plus compliquées qu'habituellement l'astrologue pratiquant ne le sait.
Il est indispensable de poser de bonnes questions aux recherches de vérification, et pour ce faire, il faut être infiniment plus avancés que nous ne le sommes aujourd'hui, dans la juste estimation de ce que les traditions ont précisément pensé et affirmé sur un signe, une planète, un aspect…
Mesurer ce qui est le plus constant et ce qui est le plus occasionnel
Les choses sont beaucoup plus compliquées qu'on ne le pense, car 2 000 ans d'histoire, et plus de 2 000 ans d'histoire astrologique, signifient une multiplicité d'expériences et de documentations fixées dans les écrits, multiplicité dans laquelle il faut mesurer ce qui est le plus profond et le plus constant, et ce qui est, au contraire, le plus occasionnel, qui participe le plus des caractères précis d’une certaine culture, qui en est modifié et qui en est donc déterminé avec des particularités telles qu'il est impossible de le considérer comme une donnée valable universellement et toujours.
Les choses sont beaucoup plus compliquées qu'on ne le pense, car 2 000 ans d'histoire, et plus de 2 000 ans d'histoire astrologique, signifient une multiplicité d'expériences et de documentations fixées dans les écrits, multiplicité dans laquelle il faut mesurer ce qui est le plus profond et le plus constant, et ce qui est, au contraire, le plus occasionnel, qui participe le plus des caractères précis d’une certaine culture, qui en est modifié et qui en est donc déterminé avec des particularités telles qu'il est impossible de le considérer comme une donnée valable universellement et toujours.
Scorpion et Sagittaire en cartouche sur l'une des façades de la rue de la Chancellerie à Bruxelles, en Belgique |
Je n'ai pas, pour ma part, trouvé encore la manière de dépasser cette question qui me semble propédeutique : il faut d'abord savoir ce qu'il faut demander à nos enquêteurs, à nos statisticiens avant d'imaginer que les réponses soient valables.
Je ne me suis occupé que d'un signe, le signe du Scorpion. Pourquoi un signe seulement ?
Vous connaissez l'immense complexité du Zodiaque. Un seul signe, ça peut paraître très peu. Mais le fait est qu'un historien ne peut affronter un problème qu’en le cernant, en le bornant beaucoup. Et, justement, tout ce qui a été écrit sur l'astrologie a le défaut de prendre les choses dans un entier infiniment trop vaste pour les possibilités de recherche d'un individu singulier.
Pourquoi se signe plutôt qu'un autre ? Parce que c'est un signe que je connais bien, que j'en ai moi-même l'expérience vécue, du fait d'être moi-même un natif de ce signe.
C'est seulement quand on y touche vraiment de très près que l'on se rend compte de ce qu'a été l'immense importance de l'astrologie dans les temps et dans les cultures que nous connaissons le mieux.
Des manuscrits astrologiques se comptent par dizaines de milliers. Les textes imprimés, en particulier à la Renaissance, dépassent les centaines de milliers. Les témoignages dans les correspondances, dans les formes diverses de l'art, sculpture et peinture surtout, sont tellement nombreux et révélateurs que, pour arriver à en tirer quelque chose de clair, c'est-à-dire à reconnaître ce qui est le plus essentiel, pour poser les bonnes questions aux statisticiens, le travail de recherche dépasse tout ce qu'on peut imaginer.
C'est pour cela que l'on comprend mieux les réserves de la culture officielle, qui est habituée à la complexité des problèmes historiques et qui évidemment est découragée devant les simplifications extrêmes que l'on peut trouver dans les ouvrages habituels d'astrologie.
Il faut que l'astrologie cherche à se faire connaître par la force du véritable savoir. Nous pouvons en fait compter sur un capital astrologique qui ne va pas plus loin que les stoïciens, que le monde Grec, et en particulier les derniers siècles avant notre ère : c'est en milieu stoïcien que l'astrologie, telle que nous la connaissons et la pratiquons aujourd'hui, s’est formée. Nous ne pouvons pas remonter plus loin que le IIIe siècle avant notre ère, même si nous savons que, notamment en milieu babylonien, au Ve siècle et même peut-être jusqu'au VIIIe siècle, le schéma du zodiaque était sensiblement le même que celui que nous connaissons et pratiquons ici.
Il faut que l'astrologie cherche à se faire connaître par la force du véritable savoir. Nous pouvons en fait compter sur un capital astrologique qui ne va pas plus loin que les stoïciens, que le monde Grec, et en particulier les derniers siècles avant notre ère : c'est en milieu stoïcien que l'astrologie, telle que nous la connaissons et la pratiquons aujourd'hui, s’est formée. Nous ne pouvons pas remonter plus loin que le IIIe siècle avant notre ère, même si nous savons que, notamment en milieu babylonien, au Ve siècle et même peut-être jusqu'au VIIIe siècle, le schéma du zodiaque était sensiblement le même que celui que nous connaissons et pratiquons ici.
Mais on ne peut pas aller plus loin et lorsqu'on entend parler de 20 000 ans ou 30 000 ans, on va vers ce qui peut être, quelque part, une certitude : cela a dû s'inscrire dans l'homme, dans des temps très lents. Mais sur le plan historique, nous n’avons pas de preuves…
Encore un point : Ptolémée, au deuxième siècle de notre ère, en milieu alexandrin, est le premier, et c'est important de le souligner, qui s'est aperçu que l'astrologue a affaire à un Zodiaque autre que le cercle des constellations. Il est le premier qui a compris le problème posé par les astronomes qui avaient découvert la précession des équinoxes autour de 129-130 avant notre ère, et qui a donc bien compris que le cercle zodiacal doit être étudié et compris dans le jeu réciproque des signes entre eux, ainsi qu'à l'intérieur de lui-même, et dans les rapports des planètes aux signes, mais toujours à l’intérieur de ce cercle qui est détaché, et de plus en plus, du fait de la précession des équinoxes, détaché des constellations. Il s'est donc rendu compte que le point de départ au point zéro du Bélier est un point de départ qui est valable dans une lecture du Zodiaque à l'intérieur de lui-même, mais sans rapport avec les constellations. Il s'est donc rendu compte que le point vernal allai monter de plus en plus dans les Poissons, naturellement, et que, 2 000 ans plus tard, il arriverait, comme il arrive actuellement, dans le Verseau.
Tout en ayant saisi cela, l'astrologie a choisi, avec Ptolémée, de ne
pas s'en soucier et de devenir une forme de savoir qui n'est pas
astronomique et qui ne se préoccupe pas d’une certaine réalité
astronomique, mais qui travaille, se perfectionne, à l'intérieur de ce
que le cercle zodiacal peut donner, sans tenir compte de la précession
des équinoxes.
Par ailleurs, dans l'astrologie ptolémaïque, il n'y a pas de portraits zodiacaux, il y a des portraits planétaires. Mais Ptolémée a justifié le report des qualités planétaires aux signes auxquels les planètes sont attribuées par les traditions, attributions qui sont confirmées, d'ailleurs, par lui-même.
On ne va trouver que rarement, dans très peu de textes anciens, une astrologie zodiacale ; on n'y retrouve beaucoup plus probablement une astrologie planétaire, ce qui est un des caractères de l'astrologie de gréco-latine.
Le Scorpion en base d'étude
J'ai dit que j'allais préciser quelques données scorpionesques... Ce qui apparaît d'emblée dans cette astrologie gréco-latine, au sujet du Scorpion, c'est le caractère puissamment contradictoire à l'intérieur du signe. Le signe apparaît, dans le monde gréco-latin, destructeur-créateur. Le premier caractère que l'on trouve est celui d'une puissance énergétique extraordinairement élevée dans le cercle zodiacal, associant la puissance de destruction à la puissance de création.
Le Scorpion sur le globe de la fontaine des Quatre-Parties-du-Monde, ou encore fontaine Carpeaux, au jardin du Luxembourg à Paris, en France |
C'est un signe particulier de cette époque, la puissance de création est représentée comme une puissance génératrice. Le Scorpion, comme dit par exemple Ptolémée, et polyspermon, riche en sperme. Mais, et c'est une première remarque, qui est très intéressante car elle se retrouve dans tous les siècles, et cela pourrait permettre de poser la plus juste question aux statisticiens, cette puissance ne doit pas être considérée comme éminemment sexuelle, comme il est traditionnellement dit de l'appartenance du sexe au Scorpion. En fait, c'est la puissance génératrice d’une « spermicité » beaucoup plus complexe que la spermicité au sens de la génération physique. C'est un trait qui vous accompagnera d'ailleurs, dans le siècle, et qui est, me semble-t-il, un des plus vérifié, des plus longuement établis qui soit.
Voici un premier point : association de traits négatifs, destructeurs (la violence marsienne), et de traits positifs, créateurs. Cette astrologie gréco-latine vous extériorise, vous extravertit ces qualités, sous forme d'une puissance destructrice ou constructrice concrète. Un des traits que nous découvrons dans cette lecture du Zodiaque dans les millénaires, est que l’on passe d’une lecture plus concrète à une lecture plus introvertie. De sorte que l'on a l'impression que nous nous trouvons dans un mouvement qui voit les caractères zodiacaux d'une façon de plus en plus proche de l'introversion que d'une compréhension psychologique de ce qui, autrefois, était au contraire lu comme vivant dans des choses, dans l'extraversion. Par exemple, Manilius vous décrira le Scorpion destructeur des villes. Nous ne lisons, ou vous le lisez, et c'est le processus, d'une façon plus introvertie.
C'est avec la tradition juive, qui a vécu en Espagne, surtout à Cordoue et à Tolède, vers les XIe et XIIe siècles, plus encore qu'avec la tradition arabe, les arabes ont compté surtout entre le IXe siècle et le XIIe siècle, que l'on commence à introvertir les valeurs du signe. Et je parle de ce signe, mais je crois que l'on peut parler « des » signes. C'est tout le processus de l'astrologie qui passe de l'extraversion à l’introversion. Elle s’intériorise de plus en plus, et, par exemple, c'est bien en milieu juif que la qualité négative et destructrice du Scorpion devient la destructivité morale. Il ne s'agit plus de la méchanceté très générale des gréco-latins mais de l'hypocrisie. C'est bien la destructivité qui est liée à l'apparence, en contradiction avec la réalité.
Le portrait du signe commence à s'intérioriser : il n'est plus destructeur des villes, il est destructeur de l'âme, parce qu'il est hypocrite. Voilà le processus d'intériorisation de la valeur négative, processus qui, naturellement, se continue à s'approfondit à l'extrême en culture chrétienne. Il y aurait là infiniment à dire, et je vais simplement donner quelques flashs.
Entre le XIIe et le XVe siècle, l'astrologie n'est pas lue comme elle était lue en milieu gréco-latin. Elle est lue éminemment dans cette perspective des qualités psychiques propres au Zodiaque vécu dans l'âme. L'introversion est très forte et le Scorpion, signe de l'hypocrisie, par sa destructivité en contradiction avec son apparence bienveillante, est associé de plus en plus à l'image diabolique, puisque c'est bien le Diable le porteur de ces valeurs en contradiction avec les valeurs que la culture veut affirmer.
Par exemple, dans les Maisons, le Scorpion prend tous les traits de la Maison huit, qui s’est d’ailleurs chargée, dans ces siècles, de tous les traits scorpionesques. C’est entre le XIIe et le XVe siècle que la Maison huit devient ce qu'elle est et que, vice-versa, le Scorpion se charge tous ses traits : c'était la Maison de la Mort.
Encore un trait très particulier à l'astrologie du Moyen-âge : c’est le degré extraordinairement poussé de la corrélation entre valeurs zodiacales et conditions concrètes de la vie. Il est assez impressionnant et inattendu que de voir dans ces textes à quel point toute la vie est gouvernée par cette chape de la situation zodiacale : le fait de couper les ongles ou l'envoi d'une lettre sont soumis au contrôle des aspects célestes… Toute la vie, ventes, achats, semailles, castration de chevaux, de ce qui est pouvait être la vie agricole par exemple…
D'après les sondages historiques, vous le savez, tous les signes non pas du tout les mêmes poids dans les traditions. Il y en a qui sont plus légers, d'autres qui pèsent, comme si la densité par rapport au moment du temps du parcours solaire était variable. Cette densité problématique trouve un de ses pôles dans le Scorpion.Il pourrait être très intéressant de voir les calculs de probabilité confirment cela à un niveau, à un degré, tel que cela puisse être considéré, honnêtement, comme un point de certitude.
Le Scorpion se caractérise, encore une certitude historique, par la qualité de fracture. C'est un moment où quelque chose se rompt, se brise, se casse ; cela est témoigné de mille façons différentes, de la qualité de gladiateur et d'assassin du Scorpion gréco-latin au caractère diabolique chrétien, il y a une rupture. C'est le signe où s'opère le passage de la vie à une autre chose. Et c'est sans doute cette qualité de rupture, c'est-à-dire de dépassement de la vie dans l'ouverture vers autre chose, que se situe une des qualités essentielles et parfaitement durables, stables, dans les millénaires, de la transmission culturelle du signe. Là se passe quelque chose qui fait passer du monde du plaisir, du désir, de la vie, à autre chose.
La fécondité scorpionesque que n'est pas prouvée dans les traditions. Même souvent, par exemple à l'époque chrétienne, le Scorpion n'est pas du tout considéré comme riche en descendance charnelle, justement par l’intensité des problèmes qui sont les siens, mais sa fécondité, qui est un trait permanent, est plutôt une fécondité justement dans cette chance de dépassement. Là encore, l’interrogation posée aux statisticiens et de voir si, sur cette fécondité-là, non organique, il obtient des réponses plus satisfaisantes que celles qu'il peut obtenir si la sexualité et la fécondité du Scorpion sont rattachées dans un sens trop étroitement charnel.
Encore une remarque : la lecture, dans les millénaires, s'introvertit de plus en plus, et je crois que l'on se trouve dans une tranche du processus dans lequel se trouve cette forme de savoir qui demande un niveau de plus en plus symbolique.
C'est pour cela, d'ailleurs, que le problème de la corrélation entre l'astrologie et la psychanalyse, en particulier, dans le sens de la psychanalyse jungienne, se pose. On dirait que, sans avoir acquis une capacité de lecture au niveau d'un décrochage du concret vers une incompréhension symbolique des valeurs affirmées par le capital inscrit dans le Zodiaque en son entier, sans cette capacité, l'astrologue d'aujourd'hui perd quelque chose du langage dans lequel il peut être le plus efficace.
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